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Wednesday, 4 June 2008
CHRONIQUE
Du formalisme bureaucratique
J'entends par là, non seulement la bureaucratie d'état, mais aussi de celle des grandes sociétés.et combinée avec son multipicateur informatique elle fait des ravages au sein des particuliers.
Je vous donne des exemples récents, survenus hier ou avant-hier, en piocahnt au hasard.
Une grande compagnie me vend au prix fort des horloges anciennes. La facture porte " chenets médiévaux en bronze ". Comment honorer un tel document? Pis encore, les horloges ont été détériorées pour accepter le quartz et les transistors et l'opéraion les a gravement bouzillées, ce qui fait qu'elles ont perdu toutes valeur.
Autre exemple, mon cher ami V*** me dit qu'il faut mettre ses schémas A4 sur ordinateur. Quel intérêt dis-je, puisqu'ils ne sont utilisables qu'en un exemplaire? Une simple photocopie suffit. Oui, répond-t-il mais il faut vivre avec son temps.
Je m'évertue à pratiquer les 40 leçons (autant qu'il y a de voleurs face à Ali Baba) que m'a dictées Emmanuel Dyan. Mais il y a mieux à faire. Se rendre chez Darty et acheter une petite machine spécialisée qui à partir de votre cool-pix vous sort des images carte postale. Il suffit dès lors de scaner ces images sur l'ordinateur et le tour est joué. On m'objete que le rendu est moins bon. C'est une plaisanterie.Le rendu est bien supérieur à ce que ce blog, voire même un poster peuvent exiger...
Continuer à lire "Le journal du 3 juin 2008"
Tuesday, 16 December 2008
CHRONIQUE
Intermezzo
Il est 6h06 du matin et j'ai rendez-vous dans deux heures avec les réalités quotidiennes. Je vais me coucher en essayant de me représenter le contenu du prochain billet. J'en ai assez de m'exprimer en anglais, et je voudrais bien parler dans ce billet à bâtons rompus. Ou peut être puiser dans L'Entretien quelque réflexions que j'entends aujourd'hui traîner dans les cénacles et les livres à succès.
TOUT LE BILLET , POURTANT SAUVEGARDé, A DISPARU ! Il contenait des perles issues de l'enseignement primaire et secondaire et des fragments de l'enseignement dispensé aux ex-cancres à la Sorbonne afin de les préparer à la vie de l'esprit. Le 17 décembre, 5h11 du matin. L'odrinateur c'est comme le piston : quand ça marche, ça marche, quand ça ne marche pas ...
Votre frustré
BRUNO LUSSATO
Monday, 13 April 2009
CHRONIQUE
Troisième Fondation
S'il maintient sa promesse, LH III poursuivra l'oeuvre entreprise par Socrate, et abandonnée notamment pour les raisons déjà signalées. A ce propos, si les recommandations des "experts" avaient été suivies il n'y aurait même pas de version conservée du Livre d'Urizen, provenant de mécènes privés. A en écouter d'autres, ils devrait être accessible sur Internet.Essayez donc, alors que même les anglais peinent à le consulter.
Pourquoi dès lors ne pas conserver le nom de Deuxième Fondation? C'est que de profondes modifications vont être apportées au projet original. Le Site sera sans doute à Paris, où je mettrai à sa disposition un local petit mais bien équipé, qui abritait la collection d'instruments d'écritures, la première au monde, mais aujourd'hui volée et cachée par un amateur qui l'a achetée à un recéleur de Hanovre, avec la protection objective de la police de cette ville franche, état dans l'état, qui a interdit aux policiers français d'aller la récuperer quand il était encore temps.

Puis, la pérennité de cette fondation sera assurée à cause des frais réduits (j'en sais quelque chose, puisque je la finance sur mes fonds propres) et surtout grâce à l'enthousiasme de L.H.III pour les choses de la culture, qui le rendra apte, avant ma disparition, à comprendre aussi bien que moi, la logique de la Fondation et dont la jeunesse est une précieuse garantie.
Deux nouveaux départements vont être créés : 1. La collection de partitions originales anciennes de Vivaldi à Messaien, conservée dans les sous-sols de la BNF. 2. La reprise sur de nouvelles bases, de la collection d'instruments d'écriture; dont la thématique se fera non plus selon un parcours universel et pédagigique impossible à reconstituer, mais par des séries complètes de la production de grands constructeurs d'importance historiques, séries uniques au monde et qu'il sera impossible de rivaliser.On commencerait par Omas et par Waterman, (deux de mes sponsors historiques) pour passer à Parket et Wahl Eversharp les années suivantes. Nous comptons aussi sur la participation de Visconti dont plusieurs pièces ont échappé à la Razzia, et de Stipula qui a fait les plus beaux stylos sculptés. Le reste suivra dans les années à venir.
Ajoutons à cela le chef d'oeuvre en cours de constitution d'un des plus grands calligraphes mondiaux, Claude Mediavilla et la collection de Washi, don du Musée du Papier à Tokyo. Ou encore, la donation Hiroko Noguchi, et ses sublimes objets en kozo, teints en kaki. Ainsi qu'on le voit, cette troisième fondation sera notablement supérieure à la seconde et digne de la grande dynastie dont L.H III et son père sont issus.
NOTE: Grâce à Sandrine, je puis à nouveau écrire sur le blog. Mais il est impossible d'enregistrer de images ni de recevoir mes e-mails. Une suggestion : demander à Emmanuel d'augmenter la taille de mon serveur. J'en ai une autre qui ne plait à personne : acheter un Apple et choisir mon opérateur et mon serveur. Cela fait trois semaines que j'essaie de passer sur SFR, et c'est un parcours du combattant. En définitive je vais peut-être prendre Bouigues. Cela signifiequ'à partir de cette semaine, tous les nouveaux billets seront fabriqués sur Apple. Mais encore faut-il apprendre à m'en servir, et transferer ma banque d'images sur le nouveau serveur. On a travaillé avec Sandrine de 23h à 1h34 le 14 avril. De quoi vous dégoûter définitivement de l'informatique. On est happés par le contenant et l'on assèche le contenu.
Sur ce, bonne nuit.
Saturday, 28 April 2007
J'ai enfin pu avoir accès à mes commentaires et j'ai commencé à y répondre. Demain 1er Mai vous aurez la reprise du journal et une "masterclass". excusez mon absence. Bruno Lussato
Bruno Lussato ayant des difficultés à communiquer avec son blog, il m'a dicté par téléphone un court résumé du journal du 28 avril qui ne vous parviendra in extenso que plus tard. Le sujet en est la "guerre des connotations". La guerre des représentations, nous savons ce que c'est: les bélligérants combattent par image médiatique interposée. Les événements, les êtres et les choses sont projettés sur une carte imaginaire, la carte des représentations. Il ne s'agit pas de programmes qui seront appliqués après l'élection, mais d'une réponse aux désirs supposés des électeurs: un peu plus de collectivisme par ci, un peu plus de libéralisme par là. Mais une représentation n'accroche le public que si elle est porteuse de signification. Les sémanticiens distinguent deux types de significations: la dénotation et la connotation. Celle-là est fondée sur une observation relativement objective des faits, donc fasifiable; celle-ci, sur des des associations s'appuyant non pas sur des preuves mais sur une intime conviction, non falsifiable puisqu'elle échappe à la preuve. C'est ainsi qu'à propos de la pression supposée de Nicolas Sarkozy sur les médias visant à étouffer son débat avec Ségolène Royal, François Bayrou a déclaré qu'il avait une certitude mais pas de preuves.
Continuer à lire "Journal du 29 Avril 2007"
Tuesday, 13 November 2007
Harcelement orange
Où vous découvrirez les instincts sanguinaires de Bruno Lussato
Ils sont d'autant plus répréhensibles qu'ils s'adressent à un monsieur que je ne connais pas et qui insiste avec la plus joyeuse et amicale insistance pour m'enrichir gratuitement. Cet excellent homme me téléphone tous les jours, à huit heures, suivi dix minutes plus tard par une collaboratrice compétente, qui me répète la même offre au cas où je serais encore somnolent. Je ne veux pas vous faire perdre du temps, et j'avoue que je n'ai pu prendre tout le texte tant le débits des deux perroquets humains (ou électroniques, Car ils ne répondent pas lorsq'ion les interrompt. Ils continuent à débiter leur message d'un ton follement optimiste). Grosso modo, on vous offre 2 710 265 euros - si vous participez au jeu de ***. Pensez tout ce que vous pourrez vous offrir pour cette somme faramineuse de 2 710 265 euros et combien votre voisin sera envieux ! Vous pourrez par exemple vous procurez le plasma hyper résolution wooferpowered flowdrive C du grand producteur coréen fou-moa-la-pé. Ou encore, la super voiture Meu-meu-écologique, qui marche au foin. Ou encore une superbe villa de rêve à Saint Tropez, le village des milliardaires, comme vous, dès que vous aurez gagné votre super hyperprix de 2 710 265 euros, oui Lussato Bruno, Monsieur , 2 710 265 euros, quel bonheur, quelles chance! Avez vous rêvé d'un super yacht, un tartaruga de 2,7 mètres? Il est à vous monsieur Lussato Bruno Monsieur. A vous tout seul. Pourquoi rester enchaîné à votre villa de Saint Trop alors que le monde tout entier est au pied de votre Tartaruga 2,7 mètres à locomotion évologique par rames en plastique renforcé?
En désespoir de cause j'essaie de capter un numéro orange où je puis demander l'arrêt de ces messages matinaux et intempestifs.
Le voici :
0899191287
Au bout d'une attente facturée 1,47 euros on me répète le message ci-dessus. Mais novation , le numéro utilisé pour communiquer est dorénavant
0800710651
La facturation est plus élevée et c'est une dame qui vous propose dans des termes aigres et péremptoires l'occasion de votre vie. On apprend aussi que l'opérateur se trouve en Autriche et qu'on ne peut le joindre qu'en faisant le
0899191287
Je vous laisse le soin d'expérimenter le truc, de découvrir comment le désamorcer et en prime, le vous laisse le Tartaruga 2,7 mètres à palmes renforcées.
Continuer à lire "Un ami qui vous veut du bien"
Wednesday, 9 December 2009
The life of Bruno Lussato - 1960's - 1970's
By Kevin Bronstein

Dear Friends,
The following post is the next installment of The life of Bruno Lussato. In the first blog I recounted my initial encounters with the Professor and left us at the begining of the 60’s. At that stage he had already gotten himself his professorship at the CNAM and started professing the benefits of American management theory. His activities as a researcher and professor allowed him to apply this theoretical framework to the very real situations he started to face with his clients.
Bruno and I shared many of the same values when it came to management. The following principles were at the centre of his work in the 60’s and 70’s but stayed core to his beliefs as long as I knew him: Decentralisation; Manage through goals, not procedures; Simplify workflow.
It was a time where American enterprise, supported by the contemporary academics, thrived in a virtuous balance between stakeholders shareholder value, respect of the clients, employees and the host countries to these newly emerging multinational outfits. It was a time where there was a genuine desire to preserve the prestige and the quality of the products, not the brand, and the religion of work ethics was pervasive throughout the enterprise. Having lived through these days myself, I can assure you that there was no cynicism, no demagogy nor naïveté on behalf of the companies contrarily to today’s vacuous mission statements implemented by short termist professional CEO’s. T
hese principles were defended by the likes of Professor Lussato and organisations such as the AFAP (l'Association Française pour l'accroissement de la productivité), the CNOF (Le comité national pour l'organisation française) but in particular the OST(Organisation Scientifique du Travail) at Lussato’s CNAM (Conservatoire National des arts et Métiers). This benevolent vision of enterprise, emboldened by the technical knowledge of the likes of the Professor and myself (often did I participate alongside Bruno in AFAP or OST events), allowed Europe to graduate in a near miraculous timeframe –although China seems to be making new time here- from a arts and craft post war societies to fully industrialized nations.
I visited Bruno in Paris in 1962, a trip I vividly remember. He was working at the BHV in the service of a visionary of the time, Georges Lillaz. He had a truly human approach to retailing allowing for unheard of autonomy to the so called “Chef de Rayon” (department manager in a store) who were both buyers and sellers. He despised the “other” model that most Wall Mart like chains follow: Bureaucratic, centralized decision-making subjected to the illogic language of IT Systems of the time and self centred agendas of HQ managers.
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