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Tuesday, 6 January 2009
CHRONIQUE
Anticipation
Ce n'est pas une erreur. Si j'ai anticipé la date du journal de un jour, c'est d'une part pour sauvegarder mon billet sur Goethe qui risque de s'évanouir commeles trois autres moutures (et j'ai bien fait, car la même erreur vient de se reproduire tout à l'heure. Généralement elle survient quand on enregistre), d'autre part parce qu les journées d'aujourd'hui et de demain risquent d'être surchargées.
Hier soir, alors que je désespérais de le voir un jour, le jeune homme glacial, appelons-le L.H.2. m'a téléphoné, ainsi que son frère et son père le chancelier. Une telle simultanéité est étonnante, et j'aurais pensé que LH2 aurait été téléguidé si je ne connaissais son indépendance d'esprit. Je lui ai dit ce que je pensais de mon attitude peu honorable, ce chantage à l'affection déçue et j'ai remis les choses à leur place. Bon. Je ne suis qu'un professeur, un initiateur et même un maître, mais rien de plus, rien en tout cas qui m'autorise à demander la moindre bribe d'affection. Néanmoins,je suis libre de lui donner la mienne,unilatéralement et sans limite. Il a paru soulagé et m'a invité au restaurant japonais. Devant mon appétit pour les bonnes choses il s'est tout à fait détendu et il a ri de bon coeur. Il a voulu me revoir ce soir et passer du temps avec moi, et je crois que cela lui faisait plaisir.
C'est à propos de notre relation que j'ai eu l'idée de vous parler d'un aspect de la Nuit des Rois de Shakespeare, la plus nostalgique, la plus ambigüe de l'auteur, la plus négligée aussi. Son homosexualité à peine déguisée, proche de La confusion des sentiments de Zweig contraste violemment avec les passages d'une ironie violente, inconvenante,dont je compte vous parler,si mon serveur le permet.
Friday, 17 August 2007
Métapolitique
L'internaute aura noté que le billet appelé "Masterclass pour Alexandre" a été longtemps en préparation et qu'à partir du 18 août il sera fractionné en plusieurs livraisons. C'est que sa rédaction est particulièrement difficile. Il se propose de donner des clés d'explications pour un phénomène spécial de désinformation massive,qu'on a coutume de nommer "bulle" et suivi tout naturellement par un réajustement au réel désigné par " éclatement de la bulle".
On vient d'apprendre que grâce aux initiatives de l'organisme monétaire national américain qui a décidé de faire fonctionner la planche à billets, le CAC 40 a remonté de deux points ! L'optimisme qui s'ensuit est aussi artificiel que la panique qui l'a précédé.
Continuer à lire "Le journal du 18 août 2007"
Monday, 21 January 2008
Chronique
L'interruption a été particulièrement longue, dû à la fatigue et à une charge de travail excessive. En ouvrant mon billet j' m'attendais à un nombre de visiteurs excptionnellement bas. Quel a été ma stupéfaction devant des chiffres records tels que : le 20 2217 ou le 19 : 8374
Nous sommes incapables de les décoder.
Nous joignons ci contre, une citation de la Comtesse de Ségur, Anastasia Romanov
Continuer à lire "Le journal du 21 janvier"
Tuesday, 10 March 2009
CHRONIQUE
L'ordinateur et moi et autres reflexions
J'en ai assez ! J'en ai assez d'orange et je passe à SFR. Il y a moins d'interruptions sur le réseau.
J'en ai assez de Windows, où il faut tout le temps payer et aussi peu convivial que possible.
J'ai toujours été partisan de Mc Intosh en essuyant les critiques des spécialistes qui parlent de son incompatibilité avec Windows, le standard mondial et qui disent que c'est bon pour des amateurs. Que si je suis doué, Windows est aussi convivial que Mac etc...J'en ai assez de leurs litanies.
Aujourd'hui cela devient de notoriété publique : le Mac est supérieur sous tous points de vue : invulnérable aux virus, dépourvu de bugs, bien fabriqué, vraiment convivial et compatible avec des outils tels que l'i-phone.
Dès que j'aurai quatre sous, je m'acheterai un Mac.Intosh ultrafin et un i-phone, que je réserverai exclusivement au blog. Je jetterai aux orties mon Nokia fût-il déguisé en modèle de luxe comme le Vertu.
J'ai raté la mise sur le blog de presque toutes les photos que j'ai scannées, comme comme de celles que j'ai photographiées sur mon coolpix. Certes, je rectifierai dès que le serveur orange y consentira, mais ce sera alors du réchauffé. Joindre Emmanuel Dyan tient de l'exploit et mes autres informaticiens amis ne parviennent pas à affronter les problèmes. Le mode d'emploi que Dyan m'a dicté, passe sous silence une quantité d'étapes qui pour lui sont naturelles, mais pas pour un nul de mon espèce.
Voilà. J'ai dû tout revérifier et corriger, mon réseau s'obstinant à transformer le noir de ce texte en bleu roi! En revanche, j'ai de la chance : actuellement le serveur veut bien m'autoriser à éditer et à sauvegarder mon billet. Pour l'instant...
Wednesday, 15 August 2007
Réponse à Arnaud
A propos de l'apport de la physique quantique à notre appréhension du réel.
Parmi les commentaires reçus au sujet de mon dernier billet, le dernier propose une réflexion en guise de conclusion au débat sur le réel.
Nous sommes enfermés dans la prison de nos cinq sens qui nous impose une vision très restrictive du monde qui nous entoure. Nous prétendons qu’elle colle à la réalité, alors que nous savons qu’elle passe par le filtre du cerveau qui ajoute une nouvelle distorsion. L’immense apport du débat suscité par la physique quantique réside dans la remise totale en question de la nature de la réalité.
Dans la dédicace de Faust, Goethe disait qu’au moment d’aborder la deuxième partie de son chef d'oeuvre (il était alors agé de soixante quinze ans) , tout ce qui lui paraissait proche s’éloignait, et que le lointain devenait réel. David Bohm, si son intuition est juste, attribue au lointain une réalité voilée, inaccessible sinon par le raisonnement, et qu’il nomme l’ordre impliqué (ou le potentiel quantique). Cet univers où disparaissent les notions familières à la physique classique d’espace de temps, de masse, d’énergie, n’est littéralement pas « de ce monde». Il est ailleurs, et pourtant en « se déployant » il donne naissance aux manifestations concrètes que nous percevons par nos instruments de mesures, elles mêmes, uniquement accessibles par la fenêtre de notre introspection.
Continuer à lire "Le billet de Marina fédier"
Saturday, 14 June 2008
CHRONIQUE
L'oeil de l'argus
Qui n'a rêvé, tel Asmodée, de soulever le toit des maisons, de s'infiltrer par les fenêtres, afin de surprendre tel un voleur les petits secrets, les pensées les plus mesquines, voire l'image d'un couple amoureux qui se croit éternel mais est souvent voué au divorce doux voire haineux?
Hé bien, qu'on se rassure. Le rêve est réalisé. Nous sommes traqués à notre insu par d'invisibles micros, capteurs de fréquences, caméras dissimulées ou pas qui font que le concept d'intimité a disparu.
Fort bien.
Mais ces myriades d'images n'ont aucun sens tant qu'elle ne sont pas structurées, mises en ordre par un dispositif, qui à partir d'une recherche informatique les regroupe, puis les projette en une carte synthétique et sans cesse en évolution. La technique qui permet de construire ces "chambres de contrôle" futuristes, existe.
Elle comprend trois étapes :le software, qui structure l'information en fonction de notre recherche, le graphware, qui dresse une carte immédiatement assimilable par les décideurs, le hardware ou matériel nécessaire pour projeter les images. Cela peut être un ordinateur dédié ou plus simplement le travail manuel d'un cartographe.
La plupart du temps, ce que nous projette la chambre de contrôle est neutre et dépasse de loin ce que nous lui avons demandé. Il s'ensuit qu'une control room peut nous réserver des surprises désagréables qui nous pousse à changer nos stéréotypes. C'est ce qui s'est produit ces trois derniers jours pour moi. Je faisais fausse route et je dois repartir à zéro!
Ce billet est revu et corrigé
Continuer à lire "Le journal du 11 au 13 juin 2008"
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