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Tuesday, 16 December 2008
CHRONIQUE
Intermezzo
Il est 6h06 du matin et j'ai rendez-vous dans deux heures avec les réalités quotidiennes. Je vais me coucher en essayant de me représenter le contenu du prochain billet. J'en ai assez de m'exprimer en anglais, et je voudrais bien parler dans ce billet à bâtons rompus. Ou peut être puiser dans L'Entretien quelque réflexions que j'entends aujourd'hui traîner dans les cénacles et les livres à succès.
TOUT LE BILLET , POURTANT SAUVEGARDé, A DISPARU ! Il contenait des perles issues de l'enseignement primaire et secondaire et des fragments de l'enseignement dispensé aux ex-cancres à la Sorbonne afin de les préparer à la vie de l'esprit. Le 17 décembre, 5h11 du matin. L'odrinateur c'est comme le piston : quand ça marche, ça marche, quand ça ne marche pas ...
Votre frustré
BRUNO LUSSATO
Saturday, 28 April 2007
J'ai enfin pu avoir accès à mes commentaires et j'ai commencé à y répondre. Demain 1er Mai vous aurez la reprise du journal et une "masterclass". excusez mon absence. Bruno Lussato
Bruno Lussato ayant des difficultés à communiquer avec son blog, il m'a dicté par téléphone un court résumé du journal du 28 avril qui ne vous parviendra in extenso que plus tard. Le sujet en est la "guerre des connotations". La guerre des représentations, nous savons ce que c'est: les bélligérants combattent par image médiatique interposée. Les événements, les êtres et les choses sont projettés sur une carte imaginaire, la carte des représentations. Il ne s'agit pas de programmes qui seront appliqués après l'élection, mais d'une réponse aux désirs supposés des électeurs: un peu plus de collectivisme par ci, un peu plus de libéralisme par là. Mais une représentation n'accroche le public que si elle est porteuse de signification. Les sémanticiens distinguent deux types de significations: la dénotation et la connotation. Celle-là est fondée sur une observation relativement objective des faits, donc fasifiable; celle-ci, sur des des associations s'appuyant non pas sur des preuves mais sur une intime conviction, non falsifiable puisqu'elle échappe à la preuve. C'est ainsi qu'à propos de la pression supposée de Nicolas Sarkozy sur les médias visant à étouffer son débat avec Ségolène Royal, François Bayrou a déclaré qu'il avait une certitude mais pas de preuves.
Continuer à lire "Journal du 29 Avril 2007"
Tuesday, 13 November 2007
Harcelement orange
Où vous découvrirez les instincts sanguinaires de Bruno Lussato
Ils sont d'autant plus répréhensibles qu'ils s'adressent à un monsieur que je ne connais pas et qui insiste avec la plus joyeuse et amicale insistance pour m'enrichir gratuitement. Cet excellent homme me téléphone tous les jours, à huit heures, suivi dix minutes plus tard par une collaboratrice compétente, qui me répète la même offre au cas où je serais encore somnolent. Je ne veux pas vous faire perdre du temps, et j'avoue que je n'ai pu prendre tout le texte tant le débits des deux perroquets humains (ou électroniques, Car ils ne répondent pas lorsq'ion les interrompt. Ils continuent à débiter leur message d'un ton follement optimiste). Grosso modo, on vous offre 2 710 265 euros - si vous participez au jeu de ***. Pensez tout ce que vous pourrez vous offrir pour cette somme faramineuse de 2 710 265 euros et combien votre voisin sera envieux ! Vous pourrez par exemple vous procurez le plasma hyper résolution wooferpowered flowdrive C du grand producteur coréen fou-moa-la-pé. Ou encore, la super voiture Meu-meu-écologique, qui marche au foin. Ou encore une superbe villa de rêve à Saint Tropez, le village des milliardaires, comme vous, dès que vous aurez gagné votre super hyperprix de 2 710 265 euros, oui Lussato Bruno, Monsieur , 2 710 265 euros, quel bonheur, quelles chance! Avez vous rêvé d'un super yacht, un tartaruga de 2,7 mètres? Il est à vous monsieur Lussato Bruno Monsieur. A vous tout seul. Pourquoi rester enchaîné à votre villa de Saint Trop alors que le monde tout entier est au pied de votre Tartaruga 2,7 mètres à locomotion évologique par rames en plastique renforcé?
En désespoir de cause j'essaie de capter un numéro orange où je puis demander l'arrêt de ces messages matinaux et intempestifs.
Le voici :
0899191287
Au bout d'une attente facturée 1,47 euros on me répète le message ci-dessus. Mais novation , le numéro utilisé pour communiquer est dorénavant
0800710651
La facturation est plus élevée et c'est une dame qui vous propose dans des termes aigres et péremptoires l'occasion de votre vie. On apprend aussi que l'opérateur se trouve en Autriche et qu'on ne peut le joindre qu'en faisant le
0899191287
Je vous laisse le soin d'expérimenter le truc, de découvrir comment le désamorcer et en prime, le vous laisse le Tartaruga 2,7 mètres à palmes renforcées.
Continuer à lire "Un ami qui vous veut du bien"
Wednesday, 9 December 2009
The life of Bruno Lussato - 1960's - 1970's
By Kevin Bronstein

Dear Friends,
The following post is the next installment of The life of Bruno Lussato. In the first blog I recounted my initial encounters with the Professor and left us at the begining of the 60’s. At that stage he had already gotten himself his professorship at the CNAM and started professing the benefits of American management theory. His activities as a researcher and professor allowed him to apply this theoretical framework to the very real situations he started to face with his clients.
Bruno and I shared many of the same values when it came to management. The following principles were at the centre of his work in the 60’s and 70’s but stayed core to his beliefs as long as I knew him: Decentralisation; Manage through goals, not procedures; Simplify workflow.
It was a time where American enterprise, supported by the contemporary academics, thrived in a virtuous balance between stakeholders shareholder value, respect of the clients, employees and the host countries to these newly emerging multinational outfits. It was a time where there was a genuine desire to preserve the prestige and the quality of the products, not the brand, and the religion of work ethics was pervasive throughout the enterprise. Having lived through these days myself, I can assure you that there was no cynicism, no demagogy nor naïveté on behalf of the companies contrarily to today’s vacuous mission statements implemented by short termist professional CEO’s. T
hese principles were defended by the likes of Professor Lussato and organisations such as the AFAP (l'Association Française pour l'accroissement de la productivité), the CNOF (Le comité national pour l'organisation française) but in particular the OST(Organisation Scientifique du Travail) at Lussato’s CNAM (Conservatoire National des arts et Métiers). This benevolent vision of enterprise, emboldened by the technical knowledge of the likes of the Professor and myself (often did I participate alongside Bruno in AFAP or OST events), allowed Europe to graduate in a near miraculous timeframe –although China seems to be making new time here- from a arts and craft post war societies to fully industrialized nations.
I visited Bruno in Paris in 1962, a trip I vividly remember. He was working at the BHV in the service of a visionary of the time, Georges Lillaz. He had a truly human approach to retailing allowing for unheard of autonomy to the so called “Chef de Rayon” (department manager in a store) who were both buyers and sellers. He despised the “other” model that most Wall Mart like chains follow: Bureaucratic, centralized decision-making subjected to the illogic language of IT Systems of the time and self centred agendas of HQ managers.
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Saturday, 17 January 2009
CHRONIQUE
Fin de parcours
J'ai tenu à terminer mes conversations autour de "La nuit des Rois" avant de vous quitter le 20 Janvier à 8 heures pour un plongeon dans l'inconnu. J'espère que vous aurez pris le soin de relire la pièce en bilingue et que mon successeur S*** aura la bonté de me remplacer au gouvernail de ce petit blog.
J'ai été heureux de communiquer avec vous, même aux petites heures de la nuit, ponctuées par les problèmes récurrents de mon misérable serveur. Evitez Orange, c'est le conseil que je puis vous délivrer. Autre conseil, dès que vos moyens vous le permettront, passez à APPLE. Tous ceux qui le peuvent font de même. Convivialité et antivirus garantis.
Peut-être trouverai-je le temps d'une nouvelle communication. Je n'aimême pas consulté le nombre de visiteurs qui doit être en baisse notable,Shakespeare est difficile.
Bonne nuit
Bruno Lussato
Monday, 31 December 2007
BONNES FETES DE FIN D'ANNEE
DE LA PART DE MARINA FEDIER, CLAUDE MEDIAVILLA ET BRUNO LUSSATO
Le nouvel an à Paris est digne des autres jours quand on ne vit pas dans un hôtel particulier. Les voisins du dessus qui pendant deux mois ont passé la chignole pour s'agrandir, prolongent le vacarme par l'ivrognerie et des disputes continuelles, ceux du dessous dont les gosses ne connaissent pas l'urbanité des heures de la nuit sont partis en vacances avec leurs parents à Saint Moritz,laissant derrière eux un affreux cabot qui n'arrète pas d'aboyer. On ne peut rien faire car la police ne peut intervenir. La procédure consiste à remplir une plainte, après quoi les juges statueront : ou les dommages affectent les humains et la plainte sera classée, même s'il s'ensuit des dépressions profondes, où on peut prouver que les aboiements sont dus à une maltraitance ou un inconfort des pauvres toutous, et les différentes associations de protection des animaux sauront intervenir pour faire cesser le trouble; toute tentative d'appel à la compassion pour les malades et les faibles, se soldent par des ricanements chez le jeune couple d'avocats qui occupe le dessous, et par de nouveaux hurlements chez les ivrognes. Ceux-là n'en sont pas à leur coup d'essai. En s'endormant cigarette au bec, le patron des lieux a mis le feu à tout l'immeuble qui est resté sinistré pendant deux ans.
En fait on décèle une source unique à ces dysfonctions : l'absence totale de civilité, de politesse, d'urbanité, de savoir-vivre des jeunes et des moins jeunes, bobos, gauchistes, cyniques, abrutis de tout poil. Une conbinaison entre Matrix et Médusa. Protéger les vieillards et prendre soin des attentes d'autrui sont d'autant plus dans les discours qu'ils désertent les pratiques. Un recours : fuir si on peut !
Chronique
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