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Thursday, 22 November 2007
Andreas Gursky
Kunstmuseum Basel, www.kunstmuseumbasel.ch
Jusqu'au 24 février
Pour l’essentiel composée de travaux récents, l’exposition consacrée à Andreas Gursky, au Kunstmuseum de Bâle, pointe parfaitement son évolution vers un usage plus affirmé de la composition et de la modification informatique, comme dans Cocoon (2007), un de ces vastes panoramas chers à l’artiste, où la foule de jeunes gens dans un nightclub semble étrangement réduite en regard d’un décor devenu totalement irréel, occupant qui plus est les deux tiers de la surface. Les modifications du réel apparaissent là patentes, comme s’il était devenu nécessaire d’en affirmer clairement l’existence.
Kuwait Stock Exchange, 2007, Copyright: Andreas Gursky / VG Bild-Kunst, Bonn
Cortesy: Monika Sprüth / Philomene Magers, Köln München London
Si Gursky a toujours usé de la retouche, sans jamais trop mentionner jusqu’à quel point, ce virage témoigne de l’importance croissante de l’outil informatique dans la conception même de ses images. Certaines compositions, à l’instar des clichés figurant en vis-à-vis les arrêts aux stands de deux véhicules de Formule 1 (F1 Boxenstopp III et IV, 2007), sont construites avec une rigueur géométrique et une organisation des masses si précises qu’une fidèle retranscription interdirait. Parfois, ce n’est même plus le motif qui provoque l’image mais l’inverse, quand un travail déjà précisément élaboré nécessite en second lieu de trouver un endroit pour le mettre en scène, telle cette vue d’un hall de l’aéroport de Francfort (Frankfurt, 2007).
Une autre conséquence de l’usage informatique tient dans la plasticité particulière qui ressort des photographies. Le traitement de la couleur mais aussi du motif lui-même induisent une étrange consistance de la matière, ni réelle ni vraiment irréelle non plus, ainsi qu’on le constate dans les trois James Bond Island (2007) photographiées en Thaïlande.
Le goût de l’artiste pour une recherche ornementale issue de l’environnement se trouve parfois exacerbé lorsqu’il se focalise sur des détails, comme la vue du plafond du siège du Parti communiste français (PCF, Paris, 2003). Ou sur des dispositifs de grande ampleur, dont l’organisation même est à la fois cause et conséquence du soucis ornemental : les photos prises en Corée du Nord, lors de grandes manifestations « festives », sont à cet égard édifiantes (série Pyongyang, 2007). L’ornementation conjointe à un certain assèchement du motif, fait en outre basculer quelques clichés vers le pictural, en particulier les deux images d’un circuit où la route totalement « nettoyée », sinueuse au milieu des sables, évoque immanquablement l’abstraction picturale et provoque le trouble (Barhain I et II, 2005 et 2007).
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Barhain I, 2005, Copyright: Andreas Gursky / VG Bild-Kunst, Bonn
Cortesy: Monika Sprüth / Philomene Magers, Köln München London
Porté par un balancement constant entre le vide et les effets de masse, l’ordre et le désordre, le global et le local, l’ensemble de l’œuvre semble utiliser ces forces contraires pour tenter de composer une vision du monde la plus juste possible, non dans sa fidélité de reproduction, mais dans sa capacité à cerner l’essence même de la contemporanéité.
L’artiste se fait intrus dans un quotidien dont il cherche à s’emparer de la structure et des lignes de forces, non pour donner à voir un instant, mais pour tenter d’approcher en quoi les situations particulières dont il rend compte sont des composantes fondamentales d’une époque. Jamais documentaire, son approche tient plutôt d’un témoignage qui se veut en profondeur, en quête d’une part cachée ou difficilement visible de ce qui constitue le monde, tel les flux humains et financiers (Kuwait Stock Exchange, 2007), ou la consistance territoriale.
Visuellement séduisante et pas dénuée d’intérêt, cette approche n’en comporte pas moins quelques dangers et effets pervers. À commencer par celui d’une déréalisation qui par trop poussée contredirait la volonté initiale.

Pyongyang IV, 2007, Copyright: Andreas Gursky / VG Bild-Kunst, Bonn
Cortesy: Monika Sprüth / Philomene Magers, Köln München London
Friday, 7 September 2007
De la superficialité des critiques et des mélomanes
Dialogue à trois, Valery Gergiev, Bill Viola, Bruno Lussato
Se reporter au billet suivant :►♦♦♦
Je ferais certainement un mauvais journaliste. Au lieu de saisir, crayon à la main les moindres propos des deux illustres artistes, le chef d'orchestre et le vidéaste, l
j'ai été happé par l'échange passionné entre Valery et Bill. Devenu protagoniste, bien modeste, je ne pouvais être à la fois dedans et dehors. Il ne me reste à l'état de souvenir que des lambeaux d'assertions, de réfutations, de rectifications, de références croisées. Je vais essayer de restituer quelques pièces d'un puzzle incomplet en priant le internautes de pallier à ma négligence, en réorganisant à leur manière, ces phrases éparses.
Un point de départ a été le commentaire prétentieux et imbécile qu'Herbe m'a communiqué et dont les nobles incompétences ont vu dans la transfiguration du corps de Tristan, un rappel d'une publicité pour aqua selzer. ►♦♦♦ Ce n'est pas aussi raffiné que l'interprétation à partir de la métaphore quantique, mais on fait ce qu'on peut même et surtout si on peut peu. Gergiev et Viola insistent beaucoup sur l'incroyable raffinement de la partition de Tristan, il n'est pas une note, une nuance, un mot, qui ne soient pas à leur place. Ce qui étonnerait bien des spectateurs qui interpretent la musique comme un magma informel, jouant sur les instincts et plongeant l'esprit dans une sorte de torpeur dissolvante.
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Tuesday, 20 November 2007
Les fraises sauvages
Les deux cinéastes que je révère le plus sont Ingmar Begman (la Flûte Enchantée, le Septième Sceau, les Fraises Sauvages), et Fédérico Fellini (Le Satyricon, Giulietta delli Spiriti) Alors que le Septième Sceau et Le Satyricon, sont des monuments d'horreur, chacun dans son régistre : pompéien ou médiéval, les Fraises Sauvages et Giuliette, sont des miracles d'évanescence, de nostalgie magnifiés par des images d'une pénétrante profondeur, excitant les fibres les plus sensibles de notre mémoire.
L'histoire des fraises sauvages, comme son nom ne l'indique pas, est le périple d'n vieil homme qui se rend à Stockholm pour recevoir le prix Nobel et qui s'interroge sur le sens de sa vie écoulée; je crois que Selma Lagerlöv et la fausse Elisabeth Costello, parcourent une voie mentale parallèle, bercés par le balancement régulier et doux du wagon. La somnolence s'installe et entre les portées musicales du ronronnement monotone, se glissent des parasites, bientôt prenant forme de scénario décousu.
Dimanche dernier, Alexandre (un de mes Alexandre, devinez lequel) vint me chercher pour m'emmener à Lille. Il est généralement d'un abord glacial avec moi, mais séduisant et irresistible avec son entourage. Je lui demandai pourquoi cette différence, il me répondit avec pertinence : je ne sais pas. Je dus m'en contenter.
Alexandre est un gardien parfait de l'orthodoxie de ce blog. Il n'y a aucun épanchement sentimental à en attendre. Parfaitement pragmatique, il me prend pour ce que je suis : un modeste professeur, susceptible mieux que quiconque de le faire accéder aux "veines de dragon" qui assurent la trame de la vie. Il a tous les biens matériels, et je n'ai que mon intégrité et ma passion d'enseigner; c'est dire,que si je suis toléré dans la cour des grands, je n'y suis guère admis.
Or Dimanche dernier, un événement significatif se produisit qui me toucha beaucoup. Il insista pour voir mon "album de famille" et en éplucha avec attention chaque image. A la fin, il me dit "je suis content d'avoir vu cela, je vous connais mieux à présent". J'avais donc cessé d'être une sorte de volatile déplumé, pour devenir un être humain en chair et en os, qu'on puisse aimer ou détester.
En se promenant parmi les images en désordre, je revis un promeneur isolé, nostalgique,essayant d'établir un dialogue avec les êtres chéris et passés comme les feuilles d'un herbier. Et puis, voici que mon employée de maison, jette un oeil sur un dessin et s'exclame : mais c'est le jeune homme qui est au salon! Je lui répondis que c'était impossible, car celui du dessin datait de plus de cinquante ans. Il avait 22 ans et moi 24. Mais je m'avisai par la suite que le caractère, la situation, l'énergie conquérante, les cheveux blonds rabattus sur le front, la laconisme, en faisaient des jumeaux - par delà les décennies.
Ce jeune homme fut mon seul ami. Je lui prédisis un sort de pouvoir et de fécondité. Issu d'une puissante dynastie, il en fonda la sienne propre et aujourd'hui il figure avec les Deripaska parmis les grands de ce monde. La mort dans l'âme, je rompis avec lui au bout d'un an...lui, le seul qui s'interessât au chétif que tous rejetaient. Une affection, une tendresse infinie nous liait, ce qui nous séparait était mon catholicisme étroit, ma réprobation pour un homme de guerre, un lutteur implacable, capable de cruauté patiente et sadique, et antisémite de surcroît. Un monstre pour le puritain que j'étais... Je ne regretterai jamais assez le rejet que j'opposai à mon seul ami. Par la suite je tombai follement amoureux d'une jeune allemande, Christine, issue d'une dynastie de Bielefeld, elle rompit sous l'influence de ses proches pour se marier avec l'ami de son frère; propriété de l'aciérie contigu. En fait, je n'avais pas ma place ni auprès de mon ami ni de ma fiancée.
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Sunday, 10 February 2008
Jardin-Théâtre Bestiarium
Studio National des Arts Contemporains Le Fresnoy, Tourcoing
www.lefresnoy.net
Jusqu’au 23 mars.
C’est un drôle d’objet que cette exposition ! À Tourcoing, Le Fresnoy concentre, en un dispositif que d’aucuns jugeraient minuscule, une bonne part de la crème des artistes contemporains. Qu’on en juge, Dan Graham, Jeff Wall, Rodney Graham, James Coleman, Juan Muñoz, Marin Kasimir, Bernard Bazile, et d’autres encore, regroupés sur quatre tables recouvertes de sucre, dont la découpe et l’ordonnancement n’est pas sans évoquer la perspective d’un jardin, aboutissant sur un mur où s’égrènent des diapositives de Ludger Gerdes, dont beaucoup figurent des jardins allemands, justement.

« Jardin-Théâtre Bestiarium », vue générale, premier plan : Hennann Pitz, « Les Gouttes d'eau », Rüdiger Schöttle, « Projection de diapositives », au centre : Jeff Wall, « Théâtre-loge avec son plan exposé comme un signe lumineux », au fond : James Coleman, « Valor Impositus », Christian Philipp Müller, « Vers une promenade de ceinture » et « Fauteuils de cinéma, dédiés à Robert Smithson », Marin Kasimir, « Vue de jardin - Cascade - Vue de cour » Confort Moderne, Poitiers, 1989. Coll. Fonds national d'art contemporain, Paris. © J-L Terradillos
« Jardin-Théâtre Bestiarium » est un objet ressuscité après vingt de sommeil, pour notre plus grand bonheur. Né à la fin des années 1970 de l’imagination du galeriste, artiste et historien de l’art allemand Rüdiger Schöttle, ce projet initialement textuel, où Schöttle imagine un jardin allégorique dans lequel se confrontent images et architectures, trouve une formulation plastique vers 1987, lors de sa rencontre avec le commissaire d’expositions belge Chris Dercon. Montré dans une première version au centre d’Art PS1, à New York, le projet interpella Guy Tortosa, alors en charge des arts plastiques pour la région Poitou-Charentes, qui s’y intéressa avec suffisamment d’audace pour le faire venir en 1989 au Confort Moderne, à Poitiers, dans une version encore plus radicale que celle présentée à New York.
Plus radicale car, loin de la dispersion des éléments orchestrée dans l’exposition américaine, la présentation française faisait sens dans une assemblage de proximité, où les pièces jouent à touce-touche, pour finalement ne faire qu’une et donner l’impression d’un cheminement dans un jardin Renaissant, où se mêlent pièces d’eau, zones publiques, folies et théâtres.

« Jardin-Théâtre Bestiarium », vue générale, Confort-Moderne, Poitiers, 1989. Coll. Fonds national d'art contemporain, Paris. © J-L Terradillos
Remarquable est le fait que cette création affirme d’emblée une singularité rompant avec toutes les formes de classification. Ni œuvre commune, ni exposition où s’affirme l’autonomie de chaque travaux – et battant dès lors en brèche ce dogme cher à l’idéal moderniste –, ce projet se pose plutôt tel une « œuvre-exposition », une sorte de tout organique, où aucune des contributions ne peut exister, ni faire sens, hors contexte et sans les autres. Un « work in process » qui ne s’entend que dans une proximité utopique, que l’on relit aujourd’hui avec un certain délice, tant elle semble ne pas avoir pris une ride.
Coiffée par une composition musicale de Glenn Branca, « l’exposition » pourrait s’assimiler à une nouvelle interprétation d’une grande pièce du répertoire, où les contributions de chacun interpellent toujours avec beaucoup d’acuité. D’autant plus que le principe de confrontation entre ses pièces de taille modeste fonctionne à merveille.
Coup de boutoir ultime donné au principe de l’autonomie, des centaines de diapositives de Rüdiger Schöttle – figurant des œuvres d’art et des images empruntées au cinéma ou à l’actualité – sont projetés sur les plateaux et enveloppent cet ensemble où le développement d’une réflexion paysagère semble également s’assimiler au montage et au déroulé cinématographique, qui poseraient en outre la question de l’horizontalité de l’écran.
Cette « exposition » est passionnante car, en plus de sa forme singulière, elle génère nombre de questions qui, aujourd’hui encore, se posent avec beaucoup d’acuité.

Vue du « Jardin-Théâtre Bestiarium », premier plan : Bernard Bazile, « L'antiphonaire », James Coleman, « Valor Impositus », Rodney Graham, « Circus gradivus », Christian Philipp Müller, « Fauteuils de cinéma, dédiés à Robert Smithson », Marin Kasimir, « Vue de jardin - Cascade - Vue de cour » Confort Moderne, Poitiers, 1989. Coll. Fonds national d'art contemporain, Paris. © J-L Terradillos
Monday, 13 April 2009

Ci-dessus, une des pages les plus durs de Apocalypsis cum Figuris - L'Entretien. J'ai essayé de le censurer, mais je m'aperçois que trente ans après, il devient d'actualité.
CHRONIQUE
Apopcalypse
Sans images il est difficile de rédiger ce billet. On y traite des nouveaux barbares. Une partie a trait aux tags,et à l'apocalypse pop, l'autre à un fragment de l'Apocalypsis cum Figuris (L'Entretien) que je n'ai osé publier dans mes morceaux choisis, tant c'est obscène et révulsif. Je pensais avoir forcé le trait, et voilà qu'en les lisant vingt ou trente ans après, je m'aperçois que je suis en déça de notre nouvelle civilisation marchande. Je ne puis ne pas faire la connexion avec les visions de William Blake.
J'ai revu hier soir Rashomon de Kurosawa, film admirable que je vous conseille d'acheter en DVD et de garder. Tout tourne autour du mensonge volontaire ou pas, du vol et de la dureté des femmes japonaises. Le plus cruel n'est pas le brigand redouté qui est capable des sentiments les plus fins, mais le Samouraï condescendant dont les yeux expriment mépris et dureté d'acier. Le meilleur est un voleur, menteur et lâche, qui à la fin rachète le genre humain, lui le misérable père de six gosses et qui accueille un bébé abandonné par ses parents. Là où il y a à manger pour six il y en a pour sept dit-il. Le bébé qui hurlait désespérément dans les bras d'un bonze compatissant mais inefficace, se calme instantanément entre les bras du pauvre bûcheron qui le porte avec amour. La plus belle leçon d'humanité dans la ligne de Blake. Là ou se trouve le pardon, la pitié, l'amour de la personne humaine, réside l'image divine.
APOCALYPSE SANS CATHARSIS.
Le cas Chronic-arts.
Il s'agit d'un magazine ayant la prétention de choquer la "bienpensanse" et de flatter sous prétexte de les hérisser le poil,les "jeunes branchés", ceux qui font les tags, manifestent à coup de barres de fer en faveur de la non-violence, aux bobos de toute sorte. Mais la "bienpensance" internet et parisienne, adore. En témoigne la queue des parisiens devant l'exposition des tags au Grand Palais, alors que Blake, qui fustige cette tournure d'esprit, était délaissé au Petit Palais.

Chronic'art est un magazine "branché" qui puise son image et ses "valeurs" sur ce que l'on pourrait appeler la contreculture, le but étant d'étaler sa différence, de prendre tout à contre-pied et de choquer les traditionnalistes comme moi et ce qu'ils croient être la "bienpensance". En fait un certain parisianisme adore.
L'explication de textes est consacrée à Southland Tales. Elle est conduite d'une manière fouillée, professionnelle qui singe les analyses consacrées à Stendhal ou à Marcel Duchamp. Pour des extraits, reportez-vous au corps du billet.
On pourrait citer un livre qui montre comment une certaine avant-garde conçoit l'Apocalypse, notamment " Signs of the Apocalypse/Rapture. Front Forty Press 2008. C'est un beau livre comprenant parmi des imagiers inconnus, Ed Ruscha, Bill Viola et Robert Ryman. Le livre très bien présenté, contenant deux DVD est un intéressant réservoir d'images, il ne saurait prétendre à un florilège d'artistes et trop souvent point de créativité chez ces créateurs, mais des ressucées, des réminiscences...
Le cas de l'Entretien
Les premiers volumes destinés à la BNF, sont pleins de séquences absolument horribles, que j'ai pensé soustraire au public dans la deuxième série de "morceaux choisis" que je projette. Mon fils, qui âgé de quinze ans, lisait en cachette ces volumes, en fut si impressionné, qu'il ne voulut jamais toucher à L'Entretien, dont le titre complet est Apocalypsis cum Figuris.
Le malheur veut que les pages qui sont calligraphiquement les plus réussies sont me semble-t-il celles là, de sorte qu'en expurgeant les volumes des passages scabreux, du même coup on ôte ce qui fait son originalité !

On trouvera dans le corps du billet un extrait des séquences interdites. Cela vous évoquera sans doute bien des comportement et des valeurs actuels.

On trouvera également dans le corps du billet, une des séquences interdites, qui à l'époque était inconvenante mais aujourd'hui la réalité depasse la fiction.
Saturday, 29 September 2007
La quête du Graal
Le parcours du combattant
Je décide donc de changer le plus vite possible mon vieux Sony poussif et asthmatique, tremblant à l'idée qu'il puisse rendre l'âme d'un moment à l'autre, anéantissant ainsi le travail de plusieurs années. (voir un billet précédent) J'ai décidé de rester dans la marque, dont la qualité d'image et le confort d'utilisation, m'ont donné toute satisfaction. Certes il y a ce son inquiétant comme un râle prémonitoire, mais après tout mon ordinateur a été soumis à un usage quotidien particulièrement intensif et par ailleurs mon achat obéit au principe de précaution. J'ai également pris ma décision, douloureuse pour mon portefeuille, de viser le plus haut de gamme. Mon blog dévore des masses énormes de megabytes, et mes disques sont sans cesse saturés. Et puis, le transfert d'images est particulièrement lent.
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