Chronique
Chers amis et internautes
Jusqu'ici vous n'avez eu droit qu'à une demi-vérité. Cette ambiguïté est due au conflit entre plusieurs attitudes éthiques. Tout d'abord afin d'expurger tout inflation de l'ego, jai essayé de dissimuler mes péripéties personnelles qui ne peuvent interesser qui que ce soit. Puis d'éviter des potins sur la politique qui ne peuvent que de baisser le niveau culturel et attirer des curiosités pas toujours saines. Lorsqu'on aborde la polémique, Mozart, l'Art contemporain ou la sociologie des population, sont infiniment plus intéressants. Certes vous pourrez - recueillir mon opinion et vos aurez toujours une réponse correcte de ma part, Mais ce blog et ses coéquipiers se tiendront autant que possible toujours à un haut niveau culturel. Voyez dans mode d'emploi les signaux des textes : professionnel ou difficiles d'accès, L'entretien, qui délivre ma pensée la plus intime et qui est destinée à prendre place au Département des Manuscrits de la Bibliothèque Nationale de France. Le politiquement incorrect et les canulars (bien souvent faux).
C'est à ce niveau que je me suis trouvé à des carrefours dangereux. Ma position- sinon mon statut (in)éxistants, m'imposent une ligne grise. On m'a beaucoup reproché de parler ou d'afficher dans le blog, des photos ou des ancdotes, qui bien "qu'on the record" pouvaient passer pour des confidences,et la ligne de démarcation, il faut bien l'avouer était bien fine.
Mon état de santé de son côté, a ajouté à la confusion.
Je suis depuis Octobre soumis à un traitement héroïque que l'on peut qualifier sans trop exagération 'enfer", dont les effets secondaires on de quoi épouvanter les plus courageux. Comme j'ai une importante résistance et une énergie peu commune, je suis arrivé à compenser la gravité des symptômes. Parmi ces effets les plus notoires des instincts suicidaire une faiblesse extrême induisant en erreur les cliniciens, une deshydration générale, une anémie grave. etc... Puis mon cerveau voici trois jours, non irrigué a accusé a accusé à son tour l'effet de la deshydration et on m'a hospitalisé d'urgence. Il était temps, tous les médecins et le professeur illustre qui conduit le protocole ont été horrifiés. On a immédiatement arrêté le traitement qui était sans doute en partie respnsable de mes bugs.
D'ici quelques jours les sequelles devraient disparaître; ma pêche revenir, et d'ici trois semaines, tout rentrera dans l'ordre, d'ici trois jours ma capacité de travail revenir en force.
Cet affreux cauchemar aura disparu. Dès à présent j'ai repris mon billet, qui sera pendant deux ou trois jours pollué peut-être par quelques bugs cérébraux dus à la déshydratation. De toute cette aventure, j'aurai beaucoup appris et perdu quelques illusions. Mais, ce qui m'importe est d'être à nouveau parmi vous