Mardi, 28 août 2007Marina Fédier et Bruno Lussato : une rencontre avec Bill ViolaRétroliens
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Merci pour votre générosité, pour tout ce que vous donnez au travers de ce blog.
Avis divergeants : http://www.forumopera.com/concerts/tristan_sellars05.htm
"Hélas, l'utilisation de la vidéo est l'exemple même de la fausse bonne idée. La faute en incombe à l'insurpassable pouvoir d'attraction de l'image. N'oublions jamais que même la mire ou la Chaîne Parlementaire ont des spectateurs...
A moins d'être dans les premiers rangs de parterre, difficile de ne pas avoir toujours l'oeil irrésistiblement attiré vers l'écran, du moins à la première vision, même s'il ne s'y passe presque rien ; d'autant que les éclairages discrets rendent les interprètes, habillés de noir sur fond noir, pratiquement indiscernables à distance : du balcon, on a d'ailleurs l'impression d'un film muet donné en concert.
Les vidéos de Viola naviguent entre la simple illustration (la mer pendant le voyage en bateau ; une forêt pendant la chasse ; un couple marchant dans l'eau pendant le duo) et l'ésotérisme bobo-branchouille (notamment un interminable rite d'initiation "new age" qui évoque une séance d'essayage à la Foire au Slip).
Les images les plus belles sont celles filmées au ralenti, notamment la scène finale qui évoque un Tristan Alka-Selzer montant vers le ciel au milieu des bulles : malheureusement, il s'agit pour l'essentiel de placages de vidéos antérieures (3) conçues dans un contexte totalement différent"
************************
http://chanteur.net/spectacles/20051111-Muenchen-20051116-Paris-Tristan.htm
"Grande pauvreté de l'espace de jeu chez Peter Sellars, confiné de bout en bout dans la semi-obscurité en bas de l'écran de Bill Viola. Pauvreté des gestes, des attitudes distantes des personnages qui ne se touchent et ne se regardent presque jamais, on dirait du Bob Wilson en panne de projecteurs.
Bill Viola récupère-t-il la mise à Paris? Il écoeure plutôt par son strip-tease new-age du premier acte, où le choix des types physiques, des vêtements, des "servants" et l'éclairage par d'artificieuses boîtes à lumière de studio évoquent une secte californienne ou un vieux roman-photo. Après les innocentes et inutiles bougies du second acte, le troisième est enfin plus réussi : Bill Viola s'y limite à des images de nature. Mer, eau, feu, levers et couchers de soleil, plongeons projetés à l'envers et au ralenti inspirés de ses oeuvres précédentes, il est plus supportable dans l'abstraction même grossièrement métaphorique, sans éléments humains trop datés et orientés."
Marina et moi-même vous remercions pour les deux critiques que vous nous avez transmises et qui méritent une réponse détaillée dans un blog spécifique qui ne saurait tarder. Je suis fier de constater que dans ce blog, nous accueillons des internautes qui ont votre culture et votre discernement, et... aussi votre volonté d'aller vois l'autre côté des choses.
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à propos dim. 05/06/2011 à 15:23
Intéressant tout ça! Je vois
le morceau d'une toute autre
façon maintenant.
Mais j'ai juste une question:
Comment [...]
à propos ven. 13/05/2011 à 00:20
Voici un commentaire sur ce
site, qui va dans le même
sens que cet article [...]
à propos mer. 09/03/2011 à 16:31
Bonjour,
Vous êtes cordialement
invité à visiter mon blog.
Description : Mon [...]
à propos mer. 02/03/2011 à 22:10
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à propos sam. 18/12/2010 à 12:47
Il est vrai que le style
précieux et emberlificoté de
Guy Sacre peu agacer. Ce
monsieur a un côté "je sais
tout" [...]
à propos sam. 13/11/2010 à 08:15
Management et physique
quantique
Consultant en entreprise et
intervenant sur des
problématiques d'innovation,
j'ai [...]
à propos mer. 22/09/2010 à 17:45
MARINA ou PIERRE.
Merci de m'écrire ou de me
téléphoner.
A bientôt.
ELIO
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