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Thursday, 4 June 2009
CHRONIQUE
Fragments épars
Je me débats encore avec mon Apple. J'ai demandé à Michel de se rendre chez Apple et de se faire expliquer les rudiments, ce qui est juste nécessaire pour consulter mon blog, l'éditer, contrôler la taille et la couleur des caractères, et diffuser sur le web. Je sais que c'est une tâche qu'il n'aime pas, aussi s'est-il contenté de téléphoner ) Apple qui lui a conseillé de se brancher sur la hot line, ou d'apporter l'ordinateur. Autre suggestion, due à Jacques Pozzetto: demandez au Syndicat d'initiative de Deauville, l'adresse d'un informaticien. Avec cela, me voici bien avancé. Je vais essayer à titre de test, d'enregistrer ces quelques lignes puis de revenir au weblog.
Apparemment cela a fonctionné. Pour combien de temps?
ALEXANDRE PUGACHEV
Les Echos ont mal orthographié son nom (devenu Pugatchev) Le fils de mon ami Sergei, et mon disciple préféré, a eu droit à une page entière des "Echos", où la photo le montre tout à fait à son avantage, c'est-à-dire tel qu'il est, contrairement à une affreuse photo parue dans le "Figaro".
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Au fond il est possible que les deux images montrent des aspects antinomiques de son caractère. la dernière voit un être rougeaud, la figure carrée, la mâchoire lourde presque mussolinienne, le regard triomphaliste, et brutal, antipathique, presque stalinien. J'avoue ne pas avoir reconnu en lui le jeune homme que j'apprécie au point de lui donner une partie de mes biens culturels les plus précieux, qui se propose de prendre en charge la troisième fondation, lui-même avide de culture et de beauté. Alexandre est froid, voire glacial, gros travailleur, le sens de l'autorité, respecté des petits, de plain pied avec ceux de la base qui par leur travail font marcher l'entreprise, mais craint par les vizirs, les diplômés paresseux et condescendants.
Mais Alexandre n'a rien du bon jeune homme des "Echos". Certes il a la race d'un prince, qu'il tient de son père, que vous avez vu dans le blog (album de famille). Une élégance suprême, mais aussi une faculté étonnante de transformation. Caméléon, il peut revêtir la physionomie d'un jeune un peu timide, naïf, hésitant, modeste, au sourire désarmant. C'est cet aspect qu'il nous montre dans la photo des "echos" d'aujourd'hui. Il devait venir passer la journée avec moi à Deauville, mais il est resté chez lui, terrassé par la grippe, que j'espère non porcine, ni mexicaine, ni aviaire, ni A etc...
LA DISPARITION DE L'AIRBUS
Que voici un excellent cas de désinformation. La palme revient au journal "le Monde" qui est passé maître en la matière. Il annonce en page-titre un papier sur les différentes hypothèses possibles. Mais en fait il ne donne que les informations officielles les plus neutres, sans le moindre travail contradictoire. Néanmoins, même de la prose aseptisée du journal bien-pensant, on peut tirer des indices.
1. Au début on a invoqué la foudre comme cause de la catastrophe, alors que les officiels qui ont émis cette cause avec aplomb, savaient fort bien que même les éclairs les plus violents, ne sauraient affecter la sécurité d'un avion tel l'Airbus vraie cage de Faraday volante, la foudre est un phénomène routinier banal. Pourquoi donner au public comme raison la plus probable, la moins probable, si ce n'est pour distraire l'attention d'autres causes possibles?
Consulter la suite dans le corps du billet.
Continuer à lire "Le journal du 4 juin 2009"
Tuesday, 26 May 2009
CHRONIQUE
Propos sur la musique.
Mes chers amis, je voudrais terminer mon récit d'hier, par une conversation fort intéressante que j'eus avec mon disciple et ami Jacques Pozzetto, grand amateur de versions discographiques inédites et expert en horlogerie.
Une soirée à Deauville
Nous entendimes hier soir à Deauville sur sa petite chaîne de HiFi, quelques disques rares qu'il apporta pour m'en faire présent.
Je découvris ainsi le melodrame de Schumann sur un texte célèbre de Lord Byron. On le représente généralement en version allemande,l'originale, mais Sir Thomas Beecham utilisa le texte authentique de Lord Byron lui-même. La diction du récitant est extraordinairement claire et articulée : on entend chaque mot et comme dans les Scènes de Faust, contemporaines, le compositeur s'efface derrière le poète. Cette oeuvre peu connue, est de la fin et on signale la similitude entre le personnage de Manfred qui convoque les démons, et de Faust qui dialogue avec Mephistophélès. Le peu que j'en ai entendu, m'a laissé une impression de grande puissance, plus bruale que la subtilité des Scènes de Faust.
Il m'apporta aussi la version magistrale, la meilleure de loin, du premier mouvement de la Xème Symphonie de Mahler, celle de Hermann Scherchen, terrifiante de nudité, cercles concentriques autour de l'impact d'un caillou lancé dans le miroir d'un étang, puis, soudain, ouverture des vannes de l'enfer. Cette oeuvre est étonnament voisine du début de la Xème Symphonie de Beethoven.: cercles concentriques, répétitions sans développement, puis, hurlement de damnés.
Je demandai à entendre le dernier quatuor de Beethoven. Brigitte Massin, qui rédigeait la notice, reconnu dans cette oeuvre, à l'instar de Strawinsky, une nouveauté totale, laissant pressentir ce que pourrait être la Xème. Cette oeuvre est composée de toutes petites cellules répétées, et combinées d'une manière ingénieuse. Cette musique pointilliste qui n'est pas sans évoquer Contrapunkte de Karl Hainz Stockhausen est d'une troublante modernité, et aux antipodes de la dialectique et du développement en tant que fondement musical propres à Beethoven. Bien que Brigitte Massinne connut à ce moment aucun des manuscrits récemment découverts de la Xème, elle montra une prescience étonnante. Essayez d'obtenir son livre sur Beethoven, édité jadis par le Club du Livre.
Le mouvement lent est poignant : chant d'oiseau perché sur un abîme menaçant. Cette musique transcende peut-être les adagios et andante de lOp. 106 et de la IXème Symphonie. Il faut être sourd de l'âme pour ne pas entendre les cris déséspérés qui font irruption dans le dernier mouvement. J'ai enguelé le pauvre Pozzetto qui s'exclamait : ce n'est pas mal! en lisant la notice.Lorsqu'on se trouve en contact, même fugitif, d'une telle confession, on entend et on se concentre religieusement. On frôle le sacré et il est facile de blasphémer.
Enfin, Pozzetto me fit don du premier quatuor de Schönberg, qu'on pourrait considerer comme le dix-septième de Beethoven. Le thème polyphonique, superposant une musique disloquée et impérieuse et une plainte résignée, Yang et Yin est accessible à nos oreilles et peut être assimilée en une vingtaine d'écoutes attentives. C'est un chef d'oeuvre d'organisation formelle et d'expression sévère mais passionnée. L'oeuvre était interprétée par le quatuor Kölisch, référence absolue, et rééditée paraît-il.
A propos du "package" culturel
En relisant mes billets, je m'aperçois que les conseils que je vous ai assénés ne sont pas comestibles. Il est tout à fait irréaliste de vous demander d'écouter in-extenso, toute la chaîne des préludes et fugues de J.S.Bach, ou d'ingurgiter en file indienne l'ensemble des trente deux sonates de Beethoven.Je maintiens qu'il faut les acheter comme référence, ainsi que les amateur de l'ittérature, achètent beaucoup plus de livres qu'ils ne pourraient en lire, mais qui constituent un fonds, souvent devenu introuvable,et qu'on pourra consulter au hasard. L'erreur sera réparée das le billet du 28 mai 2009.
Note : je ne trouve plus mon livre d'images (l'album de famille) et je joins dans le corps du billet quelques photos perdues. (c. les billets précédents).
Continuer à lire "Le journal du 27 mai 2009"
Monday, 17 September 2007
Le Bilan d’Al Qaïda six ans après… Alexandre del Valle
En cette « veille d’anniversaire du 11 septembre » 2001 et après la diffusion d’une vidéo de Ben Laden soulignant la vulnérabilité américaine afin de redonner du moral aux combattants d’Allah en Irak et ailleurs, il est intéressant de dresser un état des lieux de la, menace islamiste. Dans sa version terroriste, comme on l’a vu avec les attentats en Algérie ou avec celui déjoué en Allemagne, que dans sa version « soft », avec la victoire du parti de la Justice et du Développement en Turquie, vainqueur des élections législatives de juillet 2007 et présidentielle d'aôut avec la victoire d’Abdullah Gül.
Continuer à lire "Le billet d'Alexandre del Valle"
Friday, 20 March 2009
CHRONIQUE
Autour de Paul Klee
Comme je l'avais annoncé dans le précédent billet, finissons l'analyse du texte de Pierre Boulez sur Klee.
Klee s'empare des éléments les plus simples : l'échiquier, le cercle, la droite, dont il va déduire, d'une façon toute logique, toutes les variations, combinaisons possibles, toutes les influences réciproques. Par contraste, il introduit quelques éléments très figuratifs et semble se plaire à la confrontation des deux mondes. Mais même sa géométrie n'est pas une géométrie "objective". C'est ce qui le distingue de Kandinsky chez qui une droite est une droite "absolue", un cercle, un cercle "absolu". Ce sont des formes géométriques parfaites, tracées avec des instruments rationnels, ceux-mêmes dont se servent techniciens et ingénieurs. Et si l'on peut admirer l'ordre strict des tableaux de Kandinsky, ils nous paraissent, en quelque sorte anonymes. L'esprit est puissant mais la chair n'est même pas faibles, elle est tout simplement absente. Ce sont des objets dévitalisés, qui pourraient presque être avoir été fabriqués par n'importe qui. Chez Klee, l'on observe exactement le contraire. Ce qui force ma conviction c'est qu'on reconnaît son empreinte. La ligne n'est pas parfaite, mais une approximation de la ligne ; la main n'a pas à concurrencer une règle, elle produit sa propre déviation, sa propre distorsion ; le cercle n'est pas le cercle parfait, mais "un" cercle, un cercle tracé "à la main", pour lequel il a refusé le compas; un cercle parmi cent autres, qui possède l'autonomie merveilleuse de sa propre déviance. On a en même temps la géométrie et la déviation de la géométrrie; le principe et la transgression du principe... (Klee) préserve une zone d'insoumission. ( p.125).
Nous savons trop bien que l'excès d'ordre est sans intérêt : quand nous pouvons prévoir trop facilement les évènements, notre attention disparaît ; il en va de même avec le chaos pour des raisons opposées. Qu'est-ce qui alors est nécessaire pour obtenir en même temps continuité et variété?
Klee nous donne une merveilleuse leçon concernant ces difficultés. Il possède un extraordinaire pouvoir de "déduction". Lorsqu'on est jeune compositeur on est capable d'un grand nombre d'"impulsions". Celles-ci donnent naissance à desidées musicales, qui peuvent être très fortes, très orientées. Mais une fois qu'on les a notées, on ne sait plus comment les relier l'une à l'autre, comment établir les transitions, comment développer. Parfois ces idées sont trop riches et encombrantes et il est très difficile de les manipuler. Comment les diviser en unités plus petites, plus maniables ; comment les réduire à des composants plus neutres qui puissent irriguer entièrement le texte ; comment faire proliférer l'idée originale en même temps qu'on la réduit. C'est là tout le problème. ... Ce que j'entends par composition, par travail de composition, c'est justement cela.... (p.131)
... J'éprouve une irrépressible défiance si j'entends dire que l'imagination va tout prendre en charge. L'imagination, cette faculté merveilleuse, ne fait rien d'autre, si on la laisse sans contrôle, que de prendre appui sur la mémoire. La mémoire fait ressortir au jour des choses ressenties, entendues ou vues, un peu comme chez les ruminants remonte le bol d'herbes. Peut-être est-ce mâché, mais ce n'est ni digéré ni transformé.Tous ces souvenirs qui reviennent comme spontanément, sans effort donnent l'impression qu'on possède une imagination foisonnante. L'on se dit : "Mon imagination est si merveilleusement riche que tout jaillit sans effort et sans intention.! Ce type d'imagination ne fonctionne que sur rappels mémorisés, à peine ripolinés ; pour moi la véritable imagination n'a rien à voir avec ce coffre à trésors. .... Il y a des génies dont on vante le constant renouvellement ; il y en a d'autres, dont on seméfie davantage, car ce sont des artistes de la persistance. Mais il arrive que, souvent, on a confondu renouvellement et dispersion, persistance et monomanie...Se re,ouveler? Oui,mais selonune évolution organique qui développe;étend les possibilités, change les perspectives. (p.147)
La préparation du fond était pour lui un stade si promordial de la création qu'il ne mesurait pas son temps pour obtenir ce qu'il recherchait ; parfois il passait un mois à le modifier au moyen de moyens divers. Si bien que le résultat est un fond extraordinairement développé mais en même temps amorphe. ... On ne sait pas trop comment le regarder, ou il y a mille façons de le regarder... Sur ces fonds conçus pour offrir à l'oeil une multiplicité fluctuante d'aspects, Klee trace d'un trait noir quelque figure très précise, comme gravée, que ce soit une forme animale ou végétale.(p.163)
Voici un exemple de recette de préparation du fond inscite au dos de Zuflucht (Refuge), 1930.
1. carton
2.huile blanche, laque
3 pendant que 2 encore collant : gaze et enduit de plâtre
4 aquarelle rouge brun comme teinte
5 tempera de Neitsch blanc de zing avec addition de colle
6 dessin fin et hachures peintes à l'aquarelle
7 légèrement fixé avec un vernis à l'huile (dilué à la térébenthine)
8 éclairci par endroits avec huile blanc de zing
9 couvert avec huile bleu-gris
lavis avec huile laque de garance.
Pour avoir accès à mes commentaires autour de Klee, se reporter au corps du billet. (continuer la lecture)
Continuer à lire "Le journal du jeudi 19 mars 2009"
Sunday, 21 December 2008
CHRONIQUE
Les bienfaits de l'Université
Notre cancre a passé victorieusement son bac. Le voici maintenant à la Sorbonne. Il a subi une étonnante transformation. Le sot ignorant a été promu en sot savant et les perles académiques succèdent aux perles scolaires.
PERLES UNIVERSITAIRES
La Trans-cosmologie est entre autres une création du Trans-langage tout comme celui-ci est une création de la trans-cosmologie.La création nait ex-nihilo sans être pour autant ni in-nihilo ni cum-nihilo. Si pour David Bohm la totalité (dernier fondement de toute chose) est le produit de la conjonction (contradictorielle) de la bifurcation pensée -non pensée, et de la fusion pensée -non pensée,l'oeuvre poétique dévoile sa plénitude seulement à condition d'être perçue en tant que complexe neo-magmatique où l'ébullition dévoile sa plénitude et mêle de manière indécidable la lucidité cartésienne et la lucidité affreuse de la folie.Le cheminement vers le paradis infernal n'est pas entamé par et d'une imaginatio laesa comme on le croit habituellement mais par la force éclatante de la réflexion: "car la pensée, postule Eminescu, est un acte, un tremblement de nerfs. Plus les nerfs tremblent librement, plus la pensée est claire." La pensée est donc un pliapollinien du magmatisme psychique , foncièrement dtynamique, l'arc tensionnel majeur de l'imminente dissipation de soi qui n'a pas lieu.
Edgar Morin a raison "supprimer la déraison de vivre, est supprimer la raison de vivre". La noologie cristalisée n'est qu'une "lagune" par rapport aux géométries fluentes, oscillatoires, de lapensée en train de se construire c'est à dire du "niveau" de la noologie abyssale avec ses seuils critiques ui permettront toujours l'onde de croissance de la catastrophe dont parle René Thom.
(Ce n'est pas une farce mais un extrait sur ou de Stéphane Lupasco aux éditions du Rocher,1999).
Mais - me direz vous - tous les cancres ne se dirigent pas forcément vers ce temple de la réflexion qu'est l'Université. Les meilleurs sont plus adaptés à notre planète et essaient de réussir leur carrière, atteindre le seul but valable : grimper dans la hierarchie managériale et faire du fric. Et c'est tout à fait juste. Il existe des quantités de séminaires et d'écoles de business pour les elever jusqu'aux hautes cimes, où on peut fréquenter les magnats qui voyagent en Falcon, et ont des yachts de soixante dix mètres.
Chacune de ces officines a son truc exclusive qui vous donnera le petit avantage qui vous rendra plus compétitif. Parmi ceux-là je vous recommande la firme de David Lynch,président de Brain Technologics Cy, © auteur de la Stratégie du Dauphin dont la mission est de multiplier votre pouvoir. Place donc à notre ami le Dauphin. Il vous suffit de continuer lz lecture de ce billet pour vous ouvrir les portes du succès.
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Monday, 12 May 2008
CHRONIQUE
Quid des images? Calligraphie et ordinateur
Mes chers amis,
vous vous souvenez avec quelle joie je reçus d'un de mes étudiants des cadeaux inespérés que je n'auraus jamais rêvé me payer : un équipement complet de Plasma grand modèle Pionneer, un ordinateur Sony, le plus puissant du marché, le VAIO VGN - AR61ZU,armé d'un processeur T8300j,de,4GB/Go de mémoiren un écran de 1920 X 1200 et Vista ®.
Cet engin fut reconfiguré d'après mon ancien Windows XP,et je dois avouer qu'à côté de mon vieux coucou de Sony, la rapidité des opérations sont impressionnantes. Tant bien que mal, j'appris à faire un billet sur mon bloc, puis le besoin d'illustrations se faisant jour, je demandai à Emmanuel Dyan, qui a mon bidule en double commandes à m'apprendre à insérer de nouvelles images, pas celles existantes, usées ( et trop nombreuses) mais celles que je prends au fur et à mesure à partir de mon coolpix. Il m'expliqua que c'était le cas de figure leplus compliqué, et qu'il fallait auparavant ranger au fur et à mesure les photos en dossiers et sous-dossiers pour économiser de la mémoire (!) . J'ai sous les yeux mon guide. Il comprend 23 étapes mais qui ne sont qu'un début car il en faudrait plus de 40 pages pour obtenir la maîtrise du cool pix. Le vrai problème, c'est Photoshop, ce régulateur d'images que j'ai utilisé depuis huit ans sans y penser. Aujourd'hui il est devenu d'une telle complexité de fonctionnement qu'Emmmanuel lui-même, s'emmêle les pinceaux. Pourquoi une telle complication demandai-je? Tout est comme ça, répond Dyan. En attendant, dégôuté je suis toujours sans images. Malheureusement mon ange gardien, Sandrine le Mao part pour de longues vacances en Grèce.C'est elle qui me faisait tout, même la mise en page et la typographie. Il me faudra donc attendre pour de nouvelles illustrations.
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