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Sunday, 2 September 2007
SERENDIPITY
Un hasard étonnant a voulu que j'assiste en direct, avec Marina Fédier, à la manifestation exceptionnelle qui s'est tenue à Loreto. Le Pape a écouté les jeunes et leur a répondu. Son message vient compléter et confirmer le billet par lequelle Marina Fédier a raconté son aventure exaltante et décevante, des Grands-mères adoptives.
Au retour de promenade, vers six heures, j’essaie en vain d’obtenir une chaîne française. L’ordinateur ne veut pas obéir. Après des essais infructueux me voici sur la RAI italienne et une vision grandiose me frappe : le Pape parle aux jeunes. On se trouve à Loreto (lieu d’une apparition de la Sainte Vierge) et une foule innombrable assiste à la cérémonie. Ainsi que ce la se passe généralement, des représentants de jeunes en détresse prennent la parole et interrogent le Pape sur le malheur du monde. Ceux qui ont été sélectionnés sont d’une extraordinaire beauté. La voix vibrante d’émotion, les yeux emplis de compassion et de lumière, ils s’expriment dans un italien d’une pureté irréprochable. Les jeunes filles en particulier, semblent sortir des tableaux de Botticcelli. Le charme, la distinction, la douceur, l’intelligence, et la splendeur des traits, chevelure d’or, yeux clairs, verts ou pairs, elle surpassent en beauté toutes les stars que je connais. A la régularité parfaite des traits, elles ajoutent la beauté de l’âme, la noblesse du propos. Si c’est cela la jeunesse, me dis-je avec Marina Fédier qui vient de me rejoindre, on peut espérer de la nouvelle génération.
Marina triomphe. Elle a toujours soutenu que nous entrons dans l’ère du verseau, et qu’une nouvelle renaissance s’annonce, portée par l’idéalisme des jeunes qui récusent les monstruosités du millénaire passé.
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Thursday, 4 June 2009
CHRONIQUE
Fragments épars
Je me débats encore avec mon Apple. J'ai demandé à Michel de se rendre chez Apple et de se faire expliquer les rudiments, ce qui est juste nécessaire pour consulter mon blog, l'éditer, contrôler la taille et la couleur des caractères, et diffuser sur le web. Je sais que c'est une tâche qu'il n'aime pas, aussi s'est-il contenté de téléphoner ) Apple qui lui a conseillé de se brancher sur la hot line, ou d'apporter l'ordinateur. Autre suggestion, due à Jacques Pozzetto: demandez au Syndicat d'initiative de Deauville, l'adresse d'un informaticien. Avec cela, me voici bien avancé. Je vais essayer à titre de test, d'enregistrer ces quelques lignes puis de revenir au weblog.
Apparemment cela a fonctionné. Pour combien de temps?
ALEXANDRE PUGACHEV
Les Echos ont mal orthographié son nom (devenu Pugatchev) Le fils de mon ami Sergei, et mon disciple préféré, a eu droit à une page entière des "Echos", où la photo le montre tout à fait à son avantage, c'est-à-dire tel qu'il est, contrairement à une affreuse photo parue dans le "Figaro".
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Au fond il est possible que les deux images montrent des aspects antinomiques de son caractère. la dernière voit un être rougeaud, la figure carrée, la mâchoire lourde presque mussolinienne, le regard triomphaliste, et brutal, antipathique, presque stalinien. J'avoue ne pas avoir reconnu en lui le jeune homme que j'apprécie au point de lui donner une partie de mes biens culturels les plus précieux, qui se propose de prendre en charge la troisième fondation, lui-même avide de culture et de beauté. Alexandre est froid, voire glacial, gros travailleur, le sens de l'autorité, respecté des petits, de plain pied avec ceux de la base qui par leur travail font marcher l'entreprise, mais craint par les vizirs, les diplômés paresseux et condescendants.
Mais Alexandre n'a rien du bon jeune homme des "Echos". Certes il a la race d'un prince, qu'il tient de son père, que vous avez vu dans le blog (album de famille). Une élégance suprême, mais aussi une faculté étonnante de transformation. Caméléon, il peut revêtir la physionomie d'un jeune un peu timide, naïf, hésitant, modeste, au sourire désarmant. C'est cet aspect qu'il nous montre dans la photo des "echos" d'aujourd'hui. Il devait venir passer la journée avec moi à Deauville, mais il est resté chez lui, terrassé par la grippe, que j'espère non porcine, ni mexicaine, ni aviaire, ni A etc...
LA DISPARITION DE L'AIRBUS
Que voici un excellent cas de désinformation. La palme revient au journal "le Monde" qui est passé maître en la matière. Il annonce en page-titre un papier sur les différentes hypothèses possibles. Mais en fait il ne donne que les informations officielles les plus neutres, sans le moindre travail contradictoire. Néanmoins, même de la prose aseptisée du journal bien-pensant, on peut tirer des indices.
1. Au début on a invoqué la foudre comme cause de la catastrophe, alors que les officiels qui ont émis cette cause avec aplomb, savaient fort bien que même les éclairs les plus violents, ne sauraient affecter la sécurité d'un avion tel l'Airbus vraie cage de Faraday volante, la foudre est un phénomène routinier banal. Pourquoi donner au public comme raison la plus probable, la moins probable, si ce n'est pour distraire l'attention d'autres causes possibles?
Consulter la suite dans le corps du billet.
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Sunday, 30 September 2007
Un modèle de la personnalité
Une interprétation de la topologie jungienne.
Nous connaissons tous notre patrimoine : immobilier, financier et même génétique, traduit par les cotations, les inventaires et les check-ups de toutes sortes; mais nous ne préoccupons guère de notre patrimoine psychologique, celui qui provient de notre être essentiel, source de tout ce qui commence, qui germe et qui s'épanouit. Là gît pourtant notre richesse la plus précieuse : le pouvoir de créer.
C'était le grand Marcel Dassault qui affirmait que les deux seuls éléments qui séparent le succès de l'échec, ne figurent pas dans le bilan. Il faisait allusion à la motivation et à l'imagination créatrice. Mais ces éléments du patrimoine, ont leur source dans le tréfonds de notre psyché. Les cerner pour mieux les exploiter, exige une lucidité que l'on peut acquérir.
La connaissance de notre part d'introversion et d'extraversion, de l'équilibre de nos fonctions, nous aidera à devenir plus conscients de nous mêmes, donc des autres. Pour cela il existe plusieurs modèles, complémentaires ou interférants, quelquefois antagonistes. Celui que je propose dans ces juniorclasses est d'inspiration jungienne complétée par l'appoint d'autres conceptions de la psyché, dont celle de Dürkheim. Il ne faut pas prendre à la lettre cette topologie. L'essentiel est qu'elle vous permette de progresser dans la connaissance de vous-même et de vos potentialités.
Continuer à lire "Marina Fédier. Une initiation à la psychologie jungienne"
Thursday, 16 April 2009
Un ami de très bon conseil trouve qu’il serait dommage de décoder de façon univoque mes paraboles. Il a bien raison. Même si mon objectif est bien de susciter une réflexion autour de l’éthique des collectivités, mes énigmes doivent être lues différemment selon qu'on adopte « le point de vue du fils et du père, de quelqu'un qui s'occupe de son champ ou de quelqu'un qui n'a jamais rien planté, etc… ». Aussi conformément à son avis, je vais tenter de vous offrir plusieurs décodages, quitte à paraître contradictoire… Cela ne me pose pas de difficulté car il me semble que nous ne souffrons pas de l’absence d’une « bonne pensée ». C’est le manque de pensée tout court à l’échelle des collectivités qui nous préoccupe. Je préciserai que le domaine de la pensée politique contemporaine dépasse à peine la gestion du quotidien, l’horizon est à quelques années alors que l’unité temporelle de la pensée des collectivités, tout comme en géopolitique est la décennie. Quant à notre élaboration, elle se distingue justement de la géopolitique en ce que cette dernière tente d’expliquer et de comprendre alors que de notre coté nous essayons d’introduire des valeurs, des codes et des cadres pour l’interaction apaisée des ensembles identitaires.
Notre dernière contribution était la suivante : « Jadis, un malheureux paysan priait pour trouver le réconfort. Il fut entendu et trouva chaque jour dans son meuble de quoi le contenter. Le paysan fut enchanté par ce miracle qui dura si longtemps qu’il en délaissa son champ. Bien plus tard, le meuble en vint à se tarir et le paysan qui n’avait ni provisionné ni tenu son champ fut affamé. »
D’habiles commentaires se demandent pourquoi, le champ fut délaissé. Le paysan ne travaille-t-il pas aussi par amour de son métier ? Ne sait-il pas que sa terre risque de s’abîmer en l’absence de soins ? Nos lecteurs envisagent avec peine cette situation d’abandon et confiant dans le bon sens terrien, ils esquissent une autre fin à l’histoire où le paysan mû par ses valeurs et ses traditions aurait continué son labeur pour en profiter doublement le jour où sa survie devait dépendre à nouveau de son champ.
Je suis enchanté par ces réactions car le paysan dont je parle n’est pas un paysan ordinaire, il s’agit d’une somme de paysans, c'est-à-dire d’une société entière. Et ce qui me taraude c’est que le bon sens des uns et des autres disparaît lorsque l’ensemble de ces individus se réunissent et que c’est la collectivité qui agit et décide pour eux.
Posons les questions différemment : qui parmi nos lecteurs sait coudre ? tisser ? construire une maison ? traire une vache ? confectionner des meubles ? entretenir un champ ? Vous me répliquerez, pourquoi nous adonner à ces activités si le « miracle » technologique nous permet de déléguer tout cela à des usines, des machines et des spécialistes infiniment plus performants ?
Notre petite histoire raconte que justement cela tient du miracle et que ce miracle nous fait perdre substantiellement de vue une partie de l’essentiel. Cet essentiel ne se limite pas à la connaissance d’un savoir paysan. Il s’agit d’une perte de sens. En se concentrant chacun dans une activité spécialisée nous reconstituons une fourmilière, un cybionte pour reprendre un terme cher au Professeur. Dans cet univers, le moteur de l’histoire devient l’inertie et sa direction est exclusivement déterminée par la compétition pour les ressources et les marchands de progrès.
Toutes nos découvertes et tout notre savoir accumulé depuis des siècles forment ce miracle qui nous permet de délaisser « notre champ » mais dans ce champ poussaient nos racines, nos fondements initiaux, nos repères, nos identités, nos langues, nos croyances et nos singularités. Certes, propulsés dans l’histoire toutes ces différences produisaient intolérance et défiance. La guerre n’était que la manifestation la plus violente d’un climat permanent d’hostilité et de compétition territoriale. Faut-il pour autant cautionner sans réserve l’utopie technologique, une utopie qui nous promet un monde plus lisse, plus homogène, plus interconnecté, plus tolérant, plus prospère et plus pacifique ? Je ne le crois pas et chaque jour sont publiés d’excellents ouvrages qui démontrent parfaitement l’impasse que représente cet horizon. Cela ne veut pas dire pour autant qu’il faille lui préférer nos anciennes querelles de clocher avec des collectivités incapables de saisir la filiation commune de toutes les sociétés humaines.
Pour le dire autrement, à moins d’être aussi peu prévoyant que le paysan de notre histoire, il faudra bien accorder une confiance relative à nos technologies, et doubler ce profit discutable d’un maintien des traditions qui témoignent de notre vitalité et d’une nouvelle philosophie apte à faire dialoguer l’ensemble des civilisations.
Lire les commentaires de B.Lussato dans le corps du billet. Je suis obligé de les reprendre à zéro parce qu'inopinément tout a disparu.
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Friday, 6 April 2007
Les circonstances de la publication de Virus
Par Bruno Lussato
Ce texte a été écrit avant que l'ouvrage n'ait atteint sa forme définitive. Notamment le pauvre Kevin Bronstein a été totalement exclu du titre. On le retrouvera dans l'article : Kevin Bronstein, introduction à Virus.
Ce travail est tout sauf spontané. Il commença par une commande, d'une grande firme transnationale, dont les dirigeants qui s'apprêtant à changer radicalement de structure, s'attendaient à toutes les manoeuvres les plus machiavéliques de la part de tous ceux dont le changement dérangeait les habitudes et compromettait le statut.
Une des menaces qui guettait ces dirigeants, était la dénaturation de leurs déclarations, la réinterprétation de leurs messages et de leurs instructions et la manipulation subtile des collaborateurs de l'entreprise afin qu'ils s'opposent, par inertie ou excès de zèle, à la nouvelle organisation. Je me rendis compte que de toutes les manipulations, la plus nocive était ce que j'ai appelé la désinformation, terme qui ne coïncide pas tout à fait avec l'acception commune et notamment, celle vulgarisée par un orfèvre en la matière, le regretté Vladimir Volkoff. Je désigne ainsi un procédé consistant à présenter des faits, soit authentiques, soit inaccessibles, dans un contexte qui leur attribue, par inférence, une signification apparemment objective. C’est comme si leur réarrangement retenait quelque chose du réel qu'il organisait, en transformant en un hybride où le virtuel était inextricablement absorbé par la froide description scientifique.
J'avais ainsi l'occasion de poursuivre un travail que je n'ai jamais abandonné depuis ma jeunesse, et qui consiste à interroger sans relâche les finalités et leur traduction en objectifs et en actions. Mon métier de théoricien de l'information, qui englobe la connaissance de la sémantique et la psychologie cognitive, fut étayé par une pratique quotidienne du milieu de l'entreprise. Jusque vers les années soixante dix, le domaine du management pouvait être sans dommage être séparé de la sociologie des organisations et de l'étude des mouvements idéologiques. Mais aux approches du nouveau millénaire, cette position n'était plus défendable. Le conseiller en organisation ne pouvait se désintéresser des idéologies qui conduisent le monde, ni des stratégies de pouvoir qu'elles mettent en oeuvre pour s'implanter et se combattre. Et de toutes ces armes, la désinformation est la plus importante, car elle procède masquée, et contamine la planète toute entière, à la faveur de la surinformation qui noie les cerveaux.
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Saturday, 3 March 2007
Le net sans images
J'ai commencé à rédiger mes reflexions sur l'Art Contemporain, en essayant de me mettre à la place du public cultivé et non spécialisé. Or, je me suis tout de suite trouvé confronté à un handicap qui me semble inhérent à l'Internet. Il est difficile pour ne pas dire impossible, de décoder une oeuvre visuelle, sans illustration. D'ailleurs tous les livres, toutes les revues sur l'Art, sont abondamment fournies en reproductions de qualité inégale, au point que certaines publications sont des images accompagnée d'un texte succinct. Cela ne vaut pas les originaux certes, mais on a au moins une vague idée de ce dont on parle. Mais lorsque j'ai voulu en faire de même, un scrupule m'a saisi : quid des autorisations? Logiquement on devrait passer outre, et c'est ce que m'ont affirmé quelques blogueurs. En effet le but est pédagogique et non commercial, et puis en cas de contestation, il est toujours possible de supprimer l'image incriminée ou de payer les droits correspondants. Un autre spécialiste m'a déclaré en substance " ne demandez-rien et allez-y ! Autrement vous irez droit à un refus." Par acquis de conscience j'ai consulté les sites sur l'art contemporain, et bien entendu l'incontournable Wikipedia. La réponse était claire : pas une image. Du texte, souvent bien rédigé et pertinent, mais du texte seul. Le lecteur doit se reporter à la bibliographie, ou se rendre dans la librairie d'un musée, à moins qu'il soit en mesure de se remémorer les oeuvres de Richard Prince ou de Jeff Koontz. C'est à dire un public spécialisé. C'est d'ailleurs vrai pour des oeuvres du XXe siècle, de Picasso à Basquiat. On peut dans certains cas trouver les sites d'artistes comme Bill Viola, mais l'iconographie est donnée en vrac et elle est réduite à sa plus simple expression.
Je me suis adressé aux Galeries, et je suis tombé sur des secrétaires qui m'ont fait la réponse rituelle " envoyez un e-mail à notre directrice, en lui exposant exactement votre projet, la liste des oeuvres etc..." Celle-ci s'adressera à l'avocat de l'artiste et nous voici dans le carrousel infernal.
J'ai vécu cela voici quelques décénnies à propos d'une vidéocassette sur le Ring, publiée par Philips-Polygram et aujourd'hui par la Mithec (Voyage au coeur du Ring, Mithec video classics, 2001). Il nous a fallu des démarches épuisantes pour obtenir du Festival de Bayreuth... une minute de musique! Les autres enregistrements, y compris celui de Solti, étaient inaccessibles finacièrement, demandant des fortunes par minute. Et encore fallait-il demander l'autorisation à tous les chanteurs et chacun des musiciens de l'orchestre, dont la plupart étaient en Australie, au Japon, ou à Tombouctou! Le paradoxe c'est qu'ils étaient édités par Polygram! Comment voulez vous expliquer les leitmotive à des sourds? Et tout le monde ne sait pas lire une partition. Enfin, on trouva une solution bancale: un enregistrement d'extraits d'où je pus extraire quelques bribes de musique, les leitmotive manquants étant ajoutés grâce à la précieuse collaboration de Jeffrey Tate et de l'Orchestre National de France. Or, quelle fut pas ma suprise, de voir en vente, aux Etats Unis, une explication commentée de l'oeuvre, avec les quinze heures de musique exécutée par Solti? Il est évident que la petite maison de production qui avait réalisé l'excellent montage pédagogique, n'avait pas les moyens de se payer dix minutes de musique, au tarif imposé à Polygram et à moi-même. Le cas n'était pas isolé, et Druillet, dans un jeu vidéo sur le Ring, obtint également tous les droits. Fort heureusement on trouce à présent des enregistrements tombés dans le domaine public, et s'ils laissent à désirer techniquement, musicalement ils surclassent toute la production postérieure.
En revenant l'art contemporain, il me semble que les artistes et les galeries, devraient avoir une politique libérale envers les sites sérieux à vocation pédagogique, comme Wikipedia, ou - bien entendu - mon blog! Refuser d'aménager la legislation en la matière, reviendrait à cantonner l'accès à l'approfondissement des oeuvres à ceux qui pourraient se déplacer dans des musées souvent lointains, (Le Moma, la Tate, Beaubourg) et faire l'acquisition de livres d'art très chers. La vente par e-mail ne résout pas la question, car non seulement l'effort financier est important, mais on ne peut feuilleter les ouvrages. S'il est un domaine où les artistes contemporains peuvent rencontrer un nouveau public, et soucieux d'aller plus loin que la visite superficielle des immenses galeries, c'est bien l'Internet.
Je continue mon investigation et vous tiendrai au courant. Je voudrais bien avoir vos commentaires et partager avec vous cette recherche. En attendant, vous trouverez le début de mon travail sur "Les artistes de l'Apocalypse", enquête et réflexions qui bénéficient de l'aide compétente de Frédéric Bonnet.
Ce critique est non seulement très averti de tout ce qui se passe dans le monde de l'art contemporain, mais il est également modeste, de bonne foi, imperméable aux modes et à l'autosuggestion, enfin ouvert au dialogue avec des profanes comme moi. Je lui ai proposé de lui ouvrir une rubrique sur mon blog, où il nous fera part de ses découvertes et de ses impressions, au contact des principales manifestations artistiques qui se tiennent en Europe et aux Etats-Unis. Nous avons un projet commun : identifier les vingt ou trente artistes reconnus mondialement, et analyser les causes de leurs succès, en explorant leur démarche à traver des oeuvres-clé. Ceci est réalisable dans une édition papier, mais pour l'instant, comme je l'écrivais, on doit se contenter d'un texte.
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