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Monday, 19 November 2007
Une toute simple dynastie du Nord
Casadesus à Lille
J'aime les familles du Nord. Il en est que je connais depuis des dizaines d'années, et dont les membres pourraient à l'instar de la jet set, tirer vanité de leur pouvoir qui est considérable et de leur fortune, chèrement acquise à force de travail et d'économies de bon père de famille. Une tradition s'y est établie, qui fête mon anniversaire à Lille avec les enfants et les parents. Ils m'invitèrent aujourd'hui à un concert de ce chef admirable de désintéressement qu'est Casadesus, issus de la célèbre dynastie. Ce serviteur humble et infatigable de son art, a été jusqu'à jouer pour les démunis et les prisonniers. Sa popularité auprès de la population lilloise qu'il initie à la musique classique, se révéla à la chaleur frénétique des applaudissements à tout rompre. Les bons bourgeois lillois, plutôt prosaïques découvraient le prestige et la magnificence d'un grand orchestre et de bons pianistes. Le programme n'était pas particulièrement ésotérique. Le deuxième concerto de Beethoven n'a pas révolutionné la musique et le premier de Tchaïkowsky est devenu la bête noire des membres du jury. L'écouter plusieurs fois, c'est le détester... A l'exception du 2eme mouvement d'une poignante nostalgie. Mais enfin, les auditeurs qui le découvraient étaient éblouis par la richesse des rythmes et des mélodies. Il étaient aux trois quart conquis à la cause de la musique classique et c'est ce qui compte. Reste à inciter les lillois d'ouvrir largement leur escarcelle pour aider une trésorerie endémique. Se doter d.un Grand Orchestre quand on se veut pôle culturel, ça se mérite.
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Monday, 7 January 2008
Les potins d'Anastasia Romanov, comtesse de Ségur
Mariage annoncé sur le Net
«Mariage imminent» entre Nicolas Sarkozy et Carla Bruni
Samuel Potier (lefigaro.fr), avec AFP et le JDD
06/01/2008
Selon le Journal du dimanche, la date de l'union entre le chef de l'Etat et l'ex-top model serait fixée début février. L'Elysée ne fait «pas de commentaires».
Il lui a déjà passé la bague au doigt. «Un cœur en diamant rose signé Victoire de Castellane, créatrice de bijoux chez Dior, signe de fiançailles, gage de noces prochaines», assure le Journal du dimanche. L'hebdomadaire fait état d'un «mariage imminent», début février, entre l'ex-top model Carla Bruni et le président de la République Nicolas Sarkozy.
La date précise ? «Le 8, ou plus probablement, le 9 février prochain», croit savoir le JDD, citant «plusieurs sources». « Le couple, qui affiche son amour à la Une des magazines sur papier glacé et promène son bonheur naissant à longueur d'écrans télévisés n'en pouvait plus d'attendre », ajoute le journal. Fin décembre, le quotidien italien La Stampa, citant la mère de Carla Bruni, avait affirmé que le président français avait demandé la chanteuse italienne en mariage. Casse-tête pour le protocole Réaction de l'Elysée : «Pas de commentaire», a répondu le porte-parole de la présidence, David Martinon. Une réponse que ce dernier a systématiquement formulée en octobre aux journalistes qui l'interrogeaient sur des rumeurs concernant la séparation de Nicolas et Cécilia Sarkozy. L'annonce du divorce est finalement intervenue le 18 octobre par communiqué.
L'idylle de Carla Bruni, 39 ans, avec le président français, 52 ans, a été révélée vers la mi-décembre par des photos prises à la faveur d'une visite du couple au parc d'attractions EuroDisney, dans la banlieue de Paris. Depuis, le couple s'est affiché au grand jour lors de vacances fin décembre en Egypte, puis ce week-end, dans les ruines de la cité nabatéenne de Pétra, en Jordanie. Là, le président français s'est laissé photographier avec le fils de Carla, Aurélien, juché sur ses épaules.
Samedi, la presse indienne se faisait écho du casse-tête que représenterait, pour les autorités de ce pays, la présence de Carla Bruni lors de la visite officielle de Nicolas Sarozy en Inde le 24 janvier. Selon l'agence de presse PTI, le ministère indien des Affaires étrangères s'interroge sur la place à donner à Carla Bruni dans le protocole.
«Une authentique histoire d'amour» Un mariage réglerait la question du protocole pour les voyages suivants, mais troublerait une partie de l'entourage de Carla Bruni, selon le JDD : «Certains de ses amis s'inquiètent de la rapidité de cette romance et de la perspective de voir cette artiste, «Don Juan au féminin», enfermée dans le rôle de première dame de France.»
Mais Marisa Bruni, la mère de Carla, voit les choses différemment, comme elle l'avait raconté à la presse italienne. «Si Carla devient la première dame de France, elle devra garder pour elle un lieu et du temps pour écrire.» Avant d'affirmer dans Le Parisien : «Carla vit une authentique histoire d'amour. Et je pense qu'ils peuvent très bien se compléter avec Nicolas.»
Nature et culture
Mon fils m'a offert deux blocs de DVD de collection, relié rétrospectivement à la Nature et à la culture.
Le premier édité par la BBC Planet Earth, m'a été vanté comme un monument de technologie: les plus sophistiqués des appareils de prise de vue et des outillages vdeo; des journalistes capables de se cacher pendant une semaine pour surprendre la cour entre un macaque et et un flamand rose; des étendues sans fin ni mesure de blace, de mer, de feu... et des animaux si mignons se frottant contre leur maman ourse, des orrchidées rares, des coures éperdue de guépards... Les couleurs sont spectaculaires, très brillantes, très piquées...Voyagez, dit le générique entre les éléphants sous-marins, des montagnes de guano et un léopard blanc sur le point d'attaquer... Pure classe !
Mon fils m'explique pourquoi cette série supprime toutes les Arthur-Bertrand, ou les émissions habituelles de Arte ou de Océaniques. Je n'ai pas compris. MAis ce que je puis dire, c'est qu'après une heure des ces visions Idylliques et spectaculaires, vous tenant en haleine, je commence à somnoler, j'en assez après quelques jours d'hôpital dont le pure est la TV imposée (dont la Nature) de ces photos monotones par leur excès, par leur surenchère au spectaculaire qui abrutit tout raisonnement, toute fibre sensible un peu raffinée. Tout y est sauf la poésie, l'émotion, la surprise. C'est vu par des professionnels super compétents à la recherche de scoops, et donc le sentiment poétique tient à la capture d'images supervendables. Que l'on compare ces visions de la nature dans ces médiocres images hyperraffinées, avec celles d'un Bill Viola dans son film japonais, ou dans rêves de Kurosava, pure splendeur dont on peut sortir des dizaines de fois, toujours émerveillés.
Cette fausse nature est aussi dela fausse culture. Elle n'exige aucun effort pour être ingurgitée, elle n'en restitue encore moins d'exploitable pour notre cheminement intérieur.
Mon fils m'a également apporté un autre album " Les grands duels de l'entre deux tours des présidentielles. Je n'ai pas osé aller au delà du défi Giscart-Mitterrand. Une pièce de Molière ou de Shakespeare nous imposent toujours un travail de décodage et d'interprétation, les acteurs interposent un masque distancié, raffiné qui cachent leurs intérêts secrets. Ce spectacle, construit par l'homme, dépendant des codes littéraires et de la langue la plus admirable, relève de la culture.
Mais dans le premier des débats, le niveau est si misérable que le décodage est immédiatement perceptible - sauf pour des électeurs abrutis (par qui, par quoi?)
J'ai devant mes yeux ceux du technocrate; glacés, condescendants, sévère et arrogant de l'énarque. Son face-à-face, voyez le minauder en battant des cils, yeux obliques, lèvres à demi-ricanantes, respirant la fausseté et la malhonnêteté sournoise. Il finit par l'emporter et on en connait le résultat. Et le niveau des arguments : vous êtes un homme du passé, vous n'avez par le monopole du coeur... Est-ce digne d'une agora démocratique? C'est cela qui va occuper le trône Elyséen?
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Billets indélébiles
Information : des concepts disparates
Information, système, deux mots fourre-tout qui finissent par ne rien dire, désignant des réalités et des concepts disparates, voire contradictoires.
Le concept d'information couvre un domaine aussi étendu que la vie elle-même. On l'emploie aussi bien pour désigner les communications intercellulaires que pour les influx nerveux qui sillonnent les neurones, les flux électroniques responsables de notre activité cérébrale, de notre comportement, ou du fonctionnement des automates, ou encore de ce que délivre à notre psychisme un tableau, une partition, un paysage, une émission de télévision. Cette hétérogénéité se traduit par la multiplicité des approches. La théorie de l'information initiée par Claude Shannon, n'a pas grand chose en commun avec la sémantique de Hayakawa, le behaviorisme étroit de Skinner, les expériences parapsychologiques menées à l'Université de Princeton, ou le discours d'un démagogue, étudié par un sociologue ou par un spécialiste de la communication non verbale.
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Tuesday, 20 March 2007
Modifications
Emmanuel Dyan m'a suggéré de remplacer le titre "le bloc-notes de Bruno Lussato" monotone et dépourvu d'utilité, par "le journal du ..." . La date offre un repère commode et on sait bien qu'il ne s'agit pas de France-Soir, mais du journal où votre serviteur note à votre intention, ses réflexions ou ses réactions aux évènements récents.
Une autre modification consiste à ne faire figurer dans l'introduction que les paragraphes initiaux, en réservant la suite dans le corps du billet.
Comment jouer Mozart. Le témoignage de Horowitz
Il complète et confirme mes réflexions sur la désinformation qui touche les sonates de piano de Mozart. Je soutenais dans mon introduction et discographie que ces sonates souffrent, quel que soit le talent du pianiste, d'un aplatissement des contrastes, souvent violents de la partition, de la déformation arbitraire des signes de liaison et des soufflets, de tempi souvent étirés dans les mouvements lents et excessivement rapides dans les autres. On remarque aussi une répugnance à exprimer ses sentiments. De peur de tomber dans un romantisme démodé, on tombe dans l'excès inverse.
L'immobilisme est en marche. Comment l'arrêter?
Inspirée d'une boutade d'Edgar Faure à propos des centristes, cette formule que pourrait s'appliquer à un certain candidat, dépasse de loin la polémique électorale. Elle pose le problème du compromis politique propre à la civilisation occidentale. L'ouvrage de référence The West and the Rest, de Roger Scruton (ISD books, 2002) oppose l'occident fondé sur une culture de compromis et de la négociation et "le reste" (notamment l'Islamisme) qui distingue la Maison de la soumission, le dar al-Islam, et la maison de la Guerre, le dar-al harb. Son analyse est apparentée à celle de Huntington en ce qu'elle nie toute possibilité de conciliation entre deux systèmes s'excluant mutuellement. Le problème peut être transposé au sein de la campagne électorale française, où ces logiques conflictuelles s'affrontent.
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Sunday, 13 April 2008
CHRONIQUE
LE DÉPART D'APRÈS BECKMANN
Texte vieux de quarante ans : Le départ, est un ouvrage de commentaires et de réflexions autour du tryptique majeur de Max Beckman peint juste avant la chute du régime nazi préfigure le problème qui empoisonne ma clarté d 'esprit pour tout ce qui traite du lieu de la première fondation. Allemagne, Belgique, Costa Rica etc... Le parallèlisme des deux séquences, montre que l'une , la plus ancienne, et la dernière quarante ans plus tard, sont en compétition stérile et ruineuse.
NOTE
Je sollicite encore votre patience car je n'ai pas encore assimilé l'insertion d'images sur le blog, ce qui rend encore plus austère. Mais demain Sandrine qui m'a dépanné sans relâche, m'apprendra à me rendre autonome.
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Friday, 8 May 2009
CHRONIQUE
SEUL AVEC MON MAC
Je suis toujours à Deauville, où le temps est superbe. Pluie le matin, soleil radieux sans un nuage dans le ciel, l'après-midi et le soir. Jusqu'ici je pensais qu'on exagérait toutes ces sinistres prédictions sur la pollution parisienne. Il suffisait croyais-je, que l'on avait toujours la ressource en guise de vacances de prendre l'air aux jardins Kahn, au prè Catelan ou à Bagatelle. Je me sentais épuisé comme un vieillard (ce que je suis après tout, mais j'ai tendance à l'oublier !) je me traînais, et je mettais cela, ce qui est bien naturel, sur le compte de mon état de santé problématique. Or depuis que je me trouve à Deauville, toute fatigue a disparu par enchantement, je dévore allègrément les kilomètres. Je retrouve les charmes du marché où chez Loulou le pêcheur vient offrir ses merveilles encore frémissantes. Une merveilleuse odeur de poisson frais envahit la halle du fond du marché, odeur qu'on avait oublié dans les restaurants de la Capitale et des meilleurs, pour ne pas parler des poissonniers qui vous vendent moins bien pour cinq fois plus cher.
Les odeurs ... Je me souviens avec une intense nostalgie du parfum de la mer, son écume salée, sur le sable jaune et chaud, constellé de beaux coquillages. C'était à Tunis dans la station d'Hamilcar, située juste avant Carthage. Ceux qui vont faire bronzette suer les plages de la Méditerannée aussi bien que des Caraïbes, ne connaissent plus ces senteurs d'écume salée si particulière, tuée sans doute par la pollution universelle des eaux, comme l'air frais et pur est chassé de l'étouffoir du bassin parisien. Et puis l'odeur des lanthanas, des belles de jour et des belles de nuit au crépuscule dans le jardin de ma tante à Carthage, celle des citronniers à l'Ariana, la senteur pénétrante du jasmin que les jeunes arabes, deux par deux, se tenant par le petit doigt, portaient à l'oreille ! Cela, m'a-t-on dit, se trouve encore à Grenade, comme à Seville et d'autres lieux intenses d'Espagne. Mais guère plus en France, ni en Italie, je suppose. Ne vous moquez pas trop de ces digressions d'un homme dont l'enfance fut comme un rêve parfumé dont vous aurez de la peine à retrouver l'équivalent dans notre société de loisirs organisés. Je suis influencé tout simplement par le récit du narrateur qui dans "Le Club Dumas", mêle passé et futur, fantasmagorie et fiction. J'en reviens à l'intitulé de mon billet : mon Mac et moi. Plusieurs remarques me viennent à l'esprit:
1. Tout ce que les possesseurs d'un Mac m'ont appris, c'est à allumer l'appareil, à quitter une application et comment fonctionne ma clé USB. Mais aucun de m'explique comment faire passer cette clé d'un signal rouge à un signal bleu clignotant, ni comment passer à Word. Tous les spécialistes contactés m'ont dit qu'il fallait m'inscrire et payer de 35 euros à 90 euros, ce que j'ai essayé de faire sans succès, jusqu'à ce que S```m'a appris qu'il suffisait tout simplement d'appuyer sur le logo Word !
2. J'ai finalement trouvé en tâtonnant comment faire passer ma clé USB au clignotant bleu ce qui me permet de vous adresser ce billet.
3. De même j'ai appris tout seul à me servir de ce merveilleux outil qu'est le McBook Air. Ceux qui m'ont dit qu'il me faudrait trois mois pour m'habituer à ce nouvel environnement, tout à fait différent d'un PC ne savent pas ce qu'ils disent. Il est évident que si je n'avais jamais appris à utiliser les ressources de VISTA, je ne me serais pas débrouillé ainsi en deux jours, sans mode d'emploi, et personne pour me guider. Allons donc !
4. Ce qui est extraordinaire pour quelqu'un tributaire d'orange, et d'un PC, c'est de pouvoir écrire sans arrières-pensées, sans devoir enregistrer à chaque paragraphe, sans passer obligatoirement par Word pour sauvegarder le texte, et en se résignant à la perte des images.
5. Non moins louable est l'ergonomie idéale du clavier. Touches douces, qu'il suffit d'effleurer, d'un réglage de pression bien calculé, (un pianiste sent cela), s'éclairant à l'obscurité.
6. En revanche je suis déçu par la faible autonomie bien inférieure des quatre heures déclarées. Je vous prends à témoin. La charge était à 100% lorsque j'ai commencé à écrire ce billet. Elle est tombée à 54%. Cela signifie que je ne pourrai pas pas parvenir jusqu'au bout ! je suppose que ceux qui ont dit cela n'écrivent pas des textes aussi longs que bien de mes billets.
7. Il faut que j'apprenne à mettre sur mon billet, comme sur Word, une barre d'outil qui me permette de choisir la taille et la couleur de mon texte.
Autour de moi la même ignorance. Les utilisateurs que j'ai contacté, n'écrivent pas de texte bien mis en page et en couleur. Il écrivent des messages de style SMS, ou ils n'écrivent pas du tout ! Que font-ils alors de ce merveilleux joujou?
Tout simplement, ils joignent l'utile à l'agréable, devise des temps présents.
L'utile : leurs comptes, leurs statistiques, leurs rapports, leur situation boursière, Google...
L'agréable : comme réservoir inépuisable d'images culturelles : la famille et les enfants, les copains lors d'un meeting, avec Véronique à la Martinique devant la mer bleue et des palmiers , Sibyll à Courchevel, en piste toutes dents dehors et lunettes noires immenses, Corinne aux Maldives, devant la mer bleue et des palmiers, bronzée comme du pain d'épices, un capuchon de papier sur le nez et d'immenses lunettes noires, les gosses et leur mère du deuxième lit, en train de poser devant leur châlet loué à Avoriaz, et pour les cadres supérieurs, avec leur supérieur hiérarchique et des collègues, dans le hall d'un palace de Dubaï, etc. etc.
Il y a aussi encore plus culturel comme la vue sur une table japonaise avec un assortiment de poissons crus et de papillotes de légumes exotiques, ou de geishas servant du boeuf de kobe (pour les cadres dirigeants). Ou encore, suprême apothéose avec le célèbre sumotori Yogi Tataye. Parmi les choses agréables de la vie, Google vous remplit de bonheur : charmantes vahinés, massages écologiques relaxants, adresses choisies de tout ce que l'imagination vous permet de copuler, le contact avec une inconnue (ou un mec) fascinants à l'autre bout du monde ! Tour ça mes chers internautes, que nul ne se soucie d'avois
t des mises en pages élaborées et boussées de signes colorés (rouges pour les notes, vert pour les citations, bleues pour les chapitres sous-chapitres. Je dois à présent apprendre a installer cette barre d'outils, à rendre opérationnel WORD et à faire marcher mon email.
Je continue à éplucher le "Club Dumas", et je découvre bien des astuces et des métaphores particulièrement complexes, bien supérieures au médiocre "Code Vinci de Dan Brown". Ce 9 mai 2009 0h10
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