Recherche rapide
Votre recherche pour luzzatto a donné 15 résultats :
Friday, 21 December 2007
Aux approches de Noël
Tout autour de moi, les gens s'affairent à leurs emplettes et fignolent leur arbre de Noël. Je connais ces bonheurs, j'avais autrefois une famille. Je ne puis dire pourtant que ces jours (jusqu'au 28 où je serai seul) n'aient été remplis d'événements passionnants. Je crois même que j'ai vécu plus intensément que pendant toute ma vie.
Je suis content que mon blog se soit agrémenté de violentes polémiques assorties de quelques insultes. Il faut toujours du poivre pour réhausser le brouet. Que le docteur Méduso et Tamino soient remerciés par le Rabbi Luzzatto, mon ancêtre.
Toutes ce nuits; je les ai passées sans dormir, à me demander d'où vient cette pudeur stupide à refuser de l'argent (ou plutôt à ne pas en demander, alors que j'en ai besoin comme tout le monde). Je sais pourtant que je tiens cette pathologie de mon grand-père, un commandeur militaire italien très adulé mais indifférent aux contingences matérielles. Ma pauvre grand-mère, toute honte bue, se présentait aux clients désinvoltes et fortunés, qui pensaient tout naturel qu'on ne les fasse pas payer. Payer, c'est bon pour les pauvres!
Je regrette tellement de tenir de mon grand père ! J'ai fini par me creuser la tête pour me trouver au moins un alibi à ce comportement stupide et qui met en rage mes collègues qui subodorent la concurrence déloyale. Je casse le système, pire que Auchan avec ses prix bas, puisque chez moi il n'y a pas de prix du tout. Au bout de ces deux nuits, jai fini par trouver quelques semblants de justification un peu agressives pour mes collègues, et je vous les livre sous le titre de Covenant. En même temps j'évoque un temps révolu, où mon comportement n'avait rien de bizarre. C'est l'avidité qui mène le monde qui le rendent tel.
Continuer à lire "Le journal du 21 décembre 2007"
Saturday, 7 June 2008
CHRONIQUE
Le karma existe-t-il?
C'est certainement un concept flou, composé de notions tout aussi imprécise comme " histoire qui bégaie" destin, ce soir à Samarcande, impossibilité d'échapper à un cycle immuable, comportement répétitif, évènement cycliques fatals etc...
Dans le droit fil du journal d'hier "faut-il le dire", je suis sans cesse confronté dans les affaires comme dans la vie courante à des phénomènes karmiques. Une exception : le milieu des affaires. L'argent domine tellement tout, que la seule dimension karmique se réduit à un style opératoire : impulsivité, préméditation, ruse ou agression.
J'ai été frappé de plein fouet dans ma carrière personnelle comme professionnelle par ces fatalités, et j'ai fini par comprendre que j'ai abordé la vie du mové côté. J'ai attendu mon âge et mon expérience pour comprendre, ce que tout un chacun répète, et pour découvrir des truismes. En cela peut-être suis-je proche de mon prétendu ancêtre Moché Luzzatto, le plus illustre cabaliste qui bien souvent, traversé par l'ouragan de la prophétie, en oubliait les réalités courantes. Ma mère, en revanche, issue de Florence (la famille des Donati descent d'une Donati, la femme de Dante Alighieri) était comme tous ses ancêtres - et moi-même hélas - dotée d'une incorrigible naïveté et d'un coupable désintéressement. Mon grand-père, médecin-colonel, la coqueluche de ces dames ne faisait pas payer ses patients, riches ou pauvres. Et comment faire bouillir la marmite? Ma pauvre grand-mère, Anna, en était réduite à demander aux riches, qu'ils aient la décence de payer leur consultation ! Tâche ingrate s'il en fût.
Continuer à lire "Le journal du 6 juin 2008"
Sunday, 21 June 2009
CHRONIQUE
OECUMENISME
Ce billet est issu de la redistribution de la fin du billet précédent.
NOTE IMPORTANTE
Si vous n'avez pas pu avoir accès à mon blog, ce n'est pas parce que je suis malade, c'est mon serveur qui l'est. Il fonctionne par intermittence et il faut se dépêcher pour enregistrer les textes écrits en word. Demain on essaiera de contacter les responsables.
La réaction de quelques amis à l’annonce de ma conversion à l’Eglise orthodoxe, a été la stupéfaction, d’autant plus qu’ils ne soupçonnaient pas chez moi, l’existence d’une préoccupation d’ordre religieux. Cette réaction sera amplifiée par le billet « re-naissance » et je ressens le devoir et le désir de m’en expliquer.
Depuis bien des années, tous les Noëls (comme les jours de l’an), mon fils les passe dans la très catholique Pologne, lui même pratiquant. Jamais il n’a éprouvé le désir de passer un seul Noël avec ma sœur et moi, seuls au monde. Nous prîmes alors l’habitude de trouver du réconfort à l’Eglise Episcopale de l’Avenue Georges V à Paris. Comme son nom ne l’indique pas, il s’agit d’un lieu œcuménique, ouvert à tous les croyants chrétiens : catholiques, protestants, anglicans etc. L’ambiance de ce saint lieu est à la fois familier, chaleureux et recueilli, et les hymnes sont magnifiques. L’assistance est composée d’employés des ambassades des Etats-Unis, du Royaume Uni, de Québec, d’Australie, et des pays du Nord. On peut y ajouter des dirigeants des filiales parisiennes de puissantes multinationales. Il participent à la messe, chantent les hymnes indiqués par des panneaux mobiles affichés sur les côtés. Mais les deux moments qui me frappèrent le plus furent le processionnal qui ouvre la messe et le récessionnal qui le ferme. Les enfants de chœur portant de grands chandeliers et suivis par les officiants, et l’évêque portant la Croix, font leur entrée, puis leur sortie sur des hymnes répétitifs, fortement scandés sur un rythme de marche et traversant toute la cathédrale par l’allée principale. Ils sortent de même symétriquement.
Le sentiment du sacré m’a été infusé par les deux grands compositeurs, J.S. Bach avec sa Messe en Si, Beethoven avec la Missa Solemnis. L’œcuménisme est révélé par le fait paradoxal que le protestant de la Messe en Si a suivi le texte catholique (je crois en… la Sainte Eglise chrétienne, une et apostolique) alors que le catholique Beethoven a fait une œuvre protestante ! Quelle importance.
Il convient de ne pas perdre de vue que la première église a été juive, et conformément à la Volonté du Christ, fondée par Pierre, la première pièce de l’édifice. S’ensuivirent la reconnaissance de la Sainte Vierge Marie, de la conception immaculée, et des Saints. Cette église a été bâtie avec la croyance des apôtres juifs. La seule différence entre la religion juive et la religion chrétienne, est que les uns attendent toujours un Messie, qui pour les catholiques a été ressuscité. Pour les Chrétiens de Constantinople, plus encore que le martyre et la crucifixion, la résurrection et l’avènement de la victoire du Bien sur le Mal sont importants. Et voici que pour des raisons politiques, Rome voulant surclasser Constantinople, il y eut une opposition au début mineure, mais par la suite qui aboutissant au Concile de Nicée, ne cessa de s’affirmer. La faille devint crevasse, puis abîme. La forme originale de l’Eglise, avec l’affirmation de la séparation de l’Eglise et l’Etat, Dieu et César, persiste aujourd’hui encore, orientée sur la jubilation et l’espoir. L’appeler orthodoxe est un pléonasme. L’Eglise perpétuée telle qu’elle fut fondée, est forcément orthodoxe. Les autres formes et avatars furent le catholicisme et la dissidence luthérienne, calviniste, anglicane… Les mobiles de telles évolutions furent avant tout politiques et économique. Les princes allemands en avaient assez de payer de riches tributs à Rome. L’église anglicane naquit de la sensualité de Henri VIII qui voulait divorcer de Catherine d’Aragon, pour épouser Ann Boleyn, plus jeune, plus désirable et qui n’hésita pas pour cela de divorcer du même coup de Rome tout en s’appropriant des biens du clergé.
En opposition radicale avec l’Eglise Orthodoxe, l’Eglise apostolique romaine, mit l’accent sur la crucifixion et le martyre, faisant de la souffrance elle-même une vertu salvatrice. Il s’ensuivit un culte morbide de l’auto flagellation, qui combinée à des soubassements sexuels à peine déguisés peut nous paraître aujourd’hui répugnant.
Néanmoins il faut prendre ces considérations avec prudence. Alfred de Vigny proclamait que les chants désespérés sont les chants les plus beaux. Il est certain que dans les grandes œuvres musicales, les moments les plus émouvants, sont les plus pathétiques, les plus dramatiques, les plus tragiques. La crucifixion, les persécutions, la terreur de là mort, portent au questionnement, et ce que l’on peut reprocher à l’orthodoxie post byzantine, est son manque d’expression, une certaine raideur, la suppression de l’individualité avec ses faiblesses.
Toutes ces réflexions vous permettront de comprendre que tout en étant orthodoxe, je n’entends pas sacrifier le moins du monde ma foi de catholique, de protestant, et ni le messages mystérieux et visionnaires qui proviennent de l’influence de Moshe Hayyim Luzzatto, ce mystérieux ancêtre.
Toutefois il y a un autre facteur qui pesa dans ma détermination. Ce fut Misha qui me le fit découvrir. Misha n’est pas religieux et encore moins pratiquant, mais il fut touché par ma décision. Car pour lui elle exprimait mon désir d’appartenance à de que l’âme russe a de plus profond. Ceci d’autant plus que tout a été l’œuvre de Tatiana, sans laquelle jamais je n’aurais trouvé les contacts, l’énergie, l’organisation indispensables pour ce baptême. Plus que d’apprendre le Russe, devenir, à mon âge et affrontant des périls sérieux, orthodoxe est une preuve d’attachement pour le pays qui m’a donné les affections, l’amour, le plus profond que j’aie connu dans toute mon existence.
Bruno Lussato. Ce 20 juin à minuit.
Sunday, 23 December 2007
Emplettes de Noël
Mes chers internautes,
en dépit de vos festives occupations, choix d'un arbre équilibré, des boules multicolores, des petits cadeaux enveloppés dans du papier mordoré ou éclatant, (y compris la saucisse pour le chien !), sans compter les victuailles : foie gras, champagne, bûche, marrons glacés, en dépit donc de ces moments affairés et heureux ( et des petits conflits qu'ils accompagnent : huitres ou caviar?), plus de six cent d'entre vous ont trouvé un petit moment pour faire un coucou dans ce blog. Il faut dire que vous n'avez guère été gâté tous ces temps-ci, où, je l'avoue je n'étais pas au meilleur de ma forme ! Mais je vais dorénavant essayer toute allusion trop directe à mon insignifiante personne qu'elle soit Dinosaure, Moineau,Monsignor Lussato ou le Rabbi Mardochée Luzzatto (qu'est-ce qui m'empèche de choisir ce délicieux prénom : Mardochée? Je gagnerais peut être le respect de Monsieur Méduso, qui préfèrerait peut-être en ce qui me concerne Mcchabée?
Je me permettrai cependant d'évoquer quelques souvenirs de Noël, fête que j'aime passionnément sans avoir toujours pu en profiter.
Lors de mon enfance, les restrictions de guerre avaient limité les cadeaux. Pas d'arbre de Noël mais il y avait "la Beffana", le huit (l'épiphanie) et on trouvait toujours le matin dans les bas de maman d'inattendus petits cadeaux, tellement minuscules qu'ils ne laissèrent aucune trace dans ma mémoire ni celle de ma soeur. Sans doute, une bobine de laine et des aiguilles à tricoter, ou un petit journal illustré "d'avant-guerre" (le pays de cocagne, le temps heureux). Et il y avait la crèche. J'étais fou des crèches. J'en fabriquais, j'allais les admirer à la Cathédrale, et quelle belle musique dorée !
Mon fils bénéficia d'un tout autre traitement. En Allemagne, c'était l'abondance, et Pierre, était l'idole de ses grands parents. Les paquêts envahissaient tout le salon (dont la saucisse pour Bautzi, le teckel hargneux et l'os à ronger). On mettait le Messie de Haendel et le lendemain à la Cathédrale de Lebach, on donnait des messes superbes, avec les meilleurs violonistes dun coin, des chanteurs et des chanteuses qui s'étaient préparés pendant des mois... Ah, Noël en Allemagne !
Avant de me marier, j'allais à Saint Germain l'Auxerrois, cette merveille qui répond à la colonnade du Louvre. Ou encore, à l'Aglise américaine, Av.Georges V. Je vous la recommande si vous voulez retrouver la convivialité des cérémonies allemandes, sans la raideur ni la lourdeur. Le Noël prochain allez à minuit à cette église oecuménique. Cela ne vous empêchera pas d'assister le lendemain à un rite catholique classique.
Mais la plupart du temps, je me promenais dans la solitude de la Forêt de Recloses. Les pins et les bouleaux vibrent de l'hymne du vent dans les arbres, tout autre chose que la sinistre fréquentation de la grève désolée de l'océan désert. Des rouleaux éteints, animés par la bise, émanaient ces spectres apocalyptiques qui donnaèrent naissance à l'Entretien. Du calme majestueux des bois déserts de Nemours, des rochers des gorges de Franchard et du Loup, surgissait une présence apaisante, pleine de messages du lointain, émanant de voix familières, autant de bouteilles à la mer. Le soir, après une journée gélée, je me retrouvais dans la vieille salle de l'Auberge de la Glandée à Recloses au tour d'une bonne soupe. Et je jetais des notes de solitudes et de nostalgie, certes, mais heureuses, imprégnées par Celui qui ce soir nous apportera la bonne nouvelle.
Aujourd'hui, le temps de Recloses et de la Forêt mystérieuse parsemée de rochers est fini. Et je me retrouve errer dans un autre espace, tout aussi habité, celui que est le votre aujourd'hui. J'espère que même les agnostiques, les sceptiques, les adversaires de nos rites judéo-chrétiens, ceux qui viennent des déserts et des terres saintes, j'espère que même eux, en me lisant, trouveront au fond d'eux mêmes comme un timide écho, une résonance de ces paroles éparses. Elles ne viennent -vous le savez- ni d'un bigot, ni d'un dogmatique. Quant aux autres, les croyants, ceux qui bénéficient de la foi du charbonnier, qu'ont-ils besoin de mes exhortations? Ils sont dèjà riches de leur convictions, dans l'Eglise Catholique, Apostolique et Romaine.
!
Continuer à lire "Le journal du 24 décembre 2007"
Thursday, 3 January 2008
Chronique
Le nouveau "joke" de Richard Prince
Un médecin de famille, vient d'apprendre que son cousin vient d'être admis à l'hôpital à la suite d'un accident et lui remonte le moral. .
Mon cher ami, j'ai une bonne nouvelle, une excellente nouvelle à te transmettre. J'étais hier dans un coin reculé des environs de Dublin quand, après de laborieuses recherches, j'ai trouvé la tombe de mon trisaïeul ! Et elle été datée de 1892, ce qui correspond à la fin de l'inquisition révolutionnaire ! Si tu veux je te donnerai mon généalogue qui déterminera si tu descends de la famille Donati, alliée à Dante Alighieri, ou du grand cabaliste Luzzatto.
Ciao ! je dois te quitter, ma femme m'attend.
Clôture russe.
Reportons-nous aux différentes moutures de Montagnes russes et lisons l'interprétation correcte.
La contre-thèse de Kevin Bronstein II, la dénonciation des erreurs qui courent les journaux financiers.
Le clan Yang : homme fort : Ivanov.
Non, c'est Setchine, l'autre est la femme de ménage de Setchine. Ils se maneuvrent tous d'eux.
.
Setchine, est en bons termes avec Poutine.
Non il n'est pas en bons termes avec Poutine, ils se détestent. Setchine tient tout l'appareil policier, militaire, administratif des vétérans de l'ex KGB. C'est une force incontournable mais sans projet et dont le but est pouvoir et argent. Mais rêvant à la gloire passée de la Russie concrétisée par l'énergie.
Entre Setchine et du KGB et Medvedev. Le premier obéit au noeud sémantique Force de la terre régressif et autel, le second à Matrix.
Non. Le premier recherche l'argent et la grandeur de la Russie à condition qu'ils coïncident. Le second l'argent et l'argent, avec une touche libérale. Medvedev est moins dangereux que l'autre pour un Poutine à moins qu'il se crée une alliance avec Setchine, auquel cas on verra mordre l'ancien président. L'alliance entre Setchine et Medvedev est instable. Poutine est le plus fort.
Nicolas Patrouchev. En bons termes avec Poutine. A précédé Poutine au KGB. Non, à cause de cela. Patrouchev est peu important.
But d'Ivanov : un règlement de comptes entre Rosneft et Gazprom.
Le clan Yin. Medvedev, l'homme fort.Dr.Gal de Gazprom.Non, il n'est pas un homme à fortes convictions. Méfiez vous de l'eau qui dortGraf, un inconsistant, une femme de ménage.
Koudrine, un homme très fort, ainsi que Kostin.
FRIEDMANN Essaye de compenser son inculture. Il a déjà compensé, plus riche que Bill Gates.
La stratégie de Poutine. Question :
En, nommant Medvedev Poutine compte-t-il sur sa fidélité à terme? C'est absurde. Quand on a le pouvoir suprème, on le garde. Putine sera évacué au bout de quelques mois et invoquer sa popularité est naif; encore plus un prétendu réseau de terreur. Et s'il voulait se retirer et jouir de la vie, et surtout protéger son argent et sa protection?
Faux raisonnement. Putine croît qu'il conservera le pouvoir il le gardera.En dépit de ses lacunes (mais n'oublions pas de quelle situation il a hérité) c'était l'homme de la situation : ordre, fermeté, équilibre entre les factions). Il lui reste à accomplir toutes les réformes essentielles. Au moindre faux pas de ses adversaires il sortira du bois. Il pense donc conserver toutes les cartes de la popularité et le contrôle efficace. La politique de l'Europe.
A moins de dix ans, l'Europe sans la Russie est f.. La seule alternative est la création d'une Europe énergique, en circuitant la néfaste UE. Les Etats Unis comme d'habitude suivent les tactiques dont les conséquences sont favorables et les conséquences différées sont désastreuses. Pour Les Etats Unis, l'Europe est un adversaire (concurrence énergétique), tout étant bon pour séparer l'Europe de la Russie et ses liens traditionnels, en renforçant des idéologies communes (l'Islam) et les liens politiquement corrects avec l'Europe Méditérannéenne. Ce qui est tactiquement correct, et stratégiquement désastreux. On ne se soucie guère des dangers de l'Inde et de la Chine, adversaires idéologiques pervers. Les domaines encore christianisés sont en deshérence et on travaille dans Medusa et dans Matrix, à les faire régresser. On court au suicide.
Continuer à lire "Le journal du 3 janvier 2008"
Saturday, 29 March 2008
CHRONIQUE
Moshé Haïm Luzzatto, Bruno LussatO
et le rabbin mystérieux.
Un nouvel épisode est venu s'ajouter à la genèse de l'Entretien, mon manuscrit à peintures de 200 000 pages enluminées et calligraphiées, destiné au département des manuscrits anciens de La Bibliothèque Nationale de France.
Je rappelerai le point de départ de ce qui semble être le déclencheur de mon manuscrit, la visite d'un rabbin qui vint me trouver à l'improviste, voici plus d'un quart de siècle, m'offrant un calame et ''kippa.
Maître, commença-t-il, je viens vous voir tout exprès de Jérusalem au nom d'une confrérie religieuse de sages, consacrée à la cabale. Nous avons découvert, que vous avez hérité de l'esprit du plus grand de nos inspirateurs, le grand Luzzatto, l'homme le plus célébre d'Israël. Nous voulons que vous continuiez son œuvre et que vous nous montriez Sa voie.
Continuer à lire "Le journal du 30 mars 2008"
|
Commentaires