Monday, 21 May 2007Masterclass 7Commentaires
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Voici pour ouvrir le débat une vérité de Lapalisse:
Je pense comme le suggère l'exemple des cochons, que cela varie en fonction du type d'industrie, et surtout de la philosophie de l'entité.
Maintenant de savoir si l'artisanat technologique est préférable au géant multinational:
je suis d'avis de penser que force de la terre ne se soucie pas de la taille...
Vos remarques m'obligent à préciser mes concepts. Il est évident que dans le cas de l'informatique, ou de la joaillerie, par exemple, la concentration n'est pas nuisibles, dans le mesure où il n'y a pas de déchets significatifs. En revanche, à l'autre bout du spectre, on trouve l'exemple des hôpitaux. J'ai voic longtemps présidé une thèse d'organisation sur les déchets hospitaliers et les risques de contamination qu'entraînent leur évacuation. Le constat était sans ambiguïté : la dangerosité évoluait de façon exponentielle avec le nombre de lits. Un soubassement systémique explique ces différences. D'une part, on trouve la loi de Parkinson, dite aussi de l'Overhead en informatique. Au fur et à mesure qu'une organisation fortement intégrée augmente de taille, elle doit consacrer de plus en plus de temps à se gérer et à lutter contre ses dysfonctions. Lorsque les coûts deviennent prohibitifs, ce n'est jamais sur la charpente qu'on économise, ni seu les technologies de gestion (on riquerait le chaos) mais sur l'objet même de l'organisation : le traitement, la sécurité, la qualité des prestations. Je vous conseille de lire Fondation et Empire d'Asimov. On y trouve une planète ossifiée, Trantor, qui ne sert qu'à gérer la galaxie sur le style Medusa.
Force de la terre est, come son nom l'indique, soucieux de coller au terrain , au concrêt. Les petits patrons sont heureux de humer leurs produits, de les caresser, de sentir le respect et la confiance de leurs hommes, qui les portent et les inspirent. Ils se mettent à la place du client, ils incarnent une tradition : famille, travail humain, engagé, patrie ou territoire. Toutes ses valeurs disparaissent lorsque la taille augmente. Il ne reste plus que le choix entre décentraliser, c'est à dire de recrréer des organisations autonomes à taille humaine, ou centraliser et intégrer au niveau européen puis planétaire, et on se retrouve dans MATRIX.
Mais alors cela signifie t il qu'une organisation qui atteint une taille critique n'a que deux choix qui sont décentraliser ou tomber dans matrix?
Dans le cas d'une décentralisation le but n'est il pas majoritairement de faire des économies de cout plus que de créer des organisations à taille humaine?
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Commentaires
à propos Sun 05/06/2011 à 13:23
Intéressant tout ça! Je vois l
e morceau d'une toute autre fa
çon maintenant.
Mais j'ai ju
ste une question:
Comm [...]
à propos Thu 12/05/2011 à 22:20
Voici un commentaire sur ce si
te, qui va dans le même sens q
ue cet article :
http://www.m
ilec.com/pres/conseils.h [...]
à propos Wed 09/03/2011 à 15:31
Bonjour,
Vous êtes cordiale
ment invité à visiter mon blog
.
Description : Mon
Blog(fermaton.over-blog. [...]
à propos Wed 02/03/2011 à 21:10
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à propos Sat 18/12/2010 à 11:47
Il est vrai que le style préci
eux et emberlificoté de Guy Sa
cre peu agacer. Ce monsieur a
un côté "je sais tout" a [...]
à propos Sat 13/11/2010 à 07:15
Management et physique quantiq
ue
Consultant en entreprise e
t intervenant sur des probléma
tiques d'innovation, j'a [...]
à propos Wed 22/09/2010 à 15:45
MARINA ou PIERRE.
Merci de m'
écrire ou de me téléphoner.
A
bientôt.
ELIO
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     Au delà de la ligne d'émeraude Sixième et dernière livraison  Cette masterclass est un développement d'une "explication de textes" de l'Entretien, appelé chinoiseries. (Le samovar de Galina Zoubov II). On aurait in
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